Episode I : Le Chantage Laure se dirigeait vers les vestiaires de la salle de sport du Lycée Hugo. Le cours d'EPS était le dernier de la journée. La jeune fille avait la tête dans les nuages, elle avait passé la dernière demi-heure du cours a regardé discrètement les garçons qui jouaient au foot pendant qu'elle et ses camarades couraient autour du terrain. Elle avait alors commencé à rêver un peu, se voyant nue au milieu des joueurs, qui la dévoraient des yeux en rapprochant peu à peu…Etre livrée, assaillie et asservie, telle étaient ses fantasmes. Elle sentait peu à peu son corps s'alanguir, et elle finit sa course dans une sorte de torpeur langoureuse, avant de regagner les vestiaires. La douche ne la calma malheureusement pas… Elle s'attarda alors un peu, tandis que les autres filles quittaient peu à peu les douches pour se rhabiller avant de quitter le Lycée. Une fois qu'elle fut sûre d'être seule, Laure s'abandonna alors à nouveau à sa rêverie. Toujours nue, elle se dirigea vers les bancs… Elle s'imagine de nouveau être livrée aux garçons de sa classe, sans défense. Ce n'était pas la première fois qu'elle se caressait dans les vestiaires après le cours. Cela faisait environ deux mois déjà qu'elle avait pris l'habitude de ces séances de fin de semaine. C'était à vrai dire sa seule étrangeté. Laure est une fille de 18 ans équilibrée, déléguée de sa classe de terminale, populaire parmi ses compagnons de classe. Elle était brillante, et très mignonne, assez grande, les cheveux châtains, coiffée au carré, une poitrine généreuse et ferme, la peau mat… Toujours vierge pour l'instant, elle se fixait le bac en première priorité, bien qu'elle eut déjà quelques copains… Mais tout ça n'allait pas très loin. Pas exactement le genre de fille qu'on imagine se branler dans les vestiaires, en rêvant qu'elle est la cible d'une sorte de viol collectif… Mais après tout, ses écarts lui semblait assez inoffensifs, une façon de se détendre après les cours… Et puis, elle ne craignait rien, personne, pas même les profs ne s'attardait en salle de sport le vendredi soir. Et il n'y avait pas de concierge, la porte se fermant d'elle-même. Elle mis alors son walkman, et se laissa aller, les yeux clos, se caressant les seins d'une main et le sexe de l'autre, les cuisses largement écartées de part et d'autre du banc, de plus en plus fort à mesure que montait en elle la jouissance… Un bruit la fit soudain sursauter, et elle découvrit avec horreur qu'elle n'était pas seule. Orane était la, la regardant d'un œil moqueur. - Enfin, tu réalises, dit-elle en souriant, ça fait un bon ¼ heure que je t'observe. Largement le temps de prendre quelques souvenirs, ajouta t'elle en tapotant son appareil photo. Laure se recroquevilla soudainement, essayant maladroitement de couvrir sa nudité de ses bras. Elle fixait l'appareil d'Orane, rouge de honte, ne sachant que dire. - Avec ça je suis sûre d'avoir du succès au club photo… ricana la jeune fille. Orane était la rivale de Laure depuis la seconde. Les deux jeunes filles étaient en compétition aussi bien pour leurs classements scolaires, leurs popularités au sein de la classe ou pour savoir aussi qui était la plus sexy… C'était une fille de type asiatique, grande, la taille fine, de petits seins, les cheveux très long, flottant librement dans son dos. Leur rivalité ne transpirait que rarement, toutes deux faisant preuve envers l'autre d'une hypocrite politesse. - mais que fais-tu ici, parvint enfin à dire Laure - J'avais oublié mon pull. Tu avais l'air bien trop occupé pour faire attention à mon arrivée. Par chance, j'avais mon appareil, à cause de la réunion du Club, aujourd'hui. Alors, j'ai immortalisé cet instant. Maintenant, si tu veux bien m'excuser, je dois aller prendre mon bus. Ne t'inquiètes pas, tu verras le résultat des photos sur tous les murs du Lycée dès lundi… Au revoir, ajouta Orane en quittant la pièce. Laure se rhabilla alors très vite, la tête en feu. Elle savait qu'Orane n'hésiterai pas à mettre son projet à exécution… Laure serait alors anéantie et deviendrai la risée du Lycée tout entier. La brillante élève enviée et admirée de tous se branlant dans les vestiaires comme une traînée. Sa nudité s'étalant aux yeux de tous. Dans une petite ville comme Semur, sa vie deviendrait un calvaire… Sans compter avec la réputation de son père, notable de la ville… Tout son univers était brutalement anéanti. Une fois vêtue, elle courra alors derrière Orane, prête à tout pour récupérer les photos. Laure rejoignit Orane à l'arrêt de bus. Quelques élèves étaient aussi présent, et Laure craignait qu'Orane ne leurs ait déjà parlée. La voix tendue et âpre elle dit : - Tu dois me rendre ces photos ou je te jure que tu vas le regretter Orane se raidit - Ho, mollo, dit-elle en haussant le ton, tu ne parais pas en mesure d'exiger quoique que soit. C'est toi qui… - Moins fort murmura alors Laure, en jetant un regard inquiet aux autres élèves présents. - Tu ne peux rien faire ou je dis à tout le monde pourquoi tu traînes dans les vestiaires après les cours. - Je t'en prie… Laure était terrifiée, toute sa colère évaporée. Orane avait les cartes en main, et toutes deux le savaient. - Excuses moi, bredouilla alors Laure, baissant les yeux, mortifiée, mais tu ne dois pas les montrer, je t'en prie…ajouta t'elle les larmes aux yeux. - Et pourquoi je ne le ferais pas, alors que j'adorerai te voir humiliée devant tout le Lycée ? - Par pitié, je te donnerai tout ce que tu veux… - J'ai déjà tout ce que je veux, mon père est aussi riche que le tiens. De plus, ajouta perfidement la belle asiatique, ce que je veux, c'est juste montré ton vrai visage. C'est toi la salope qui te branle au vestiaire, pas moi. Laure blêmit sous l'insulte, mais fut soulagée qu'Orane ait baissé la voix sut la fin de sa phrase. Elle avait peut être une infime chance de la convaincre. - Je ferai tout… tout ce que tu veux, mais je t'en prie, rend moi les photos… articula douloureusement Laure, la tête de plus en plus basse. - Hahaaha, tu fais déjà un peu moins la fière, rigola Orane. Ok, je suis une fille sympa, et si tu me le demande à genoux, ici, immédiatement, je te promets d'y réfléchir... - Oh! Non-pitié, Orane pas ici, pas devant eux…supplia Laure en regardant les autres élèves présents. - Alors tant pis, d'ailleurs mon bus arrive. A lundi, donc, ma petite Laure… fit Orane en se détournant, un large sourire éclairant sa face… Laure vacilla. Mieux valait une légère honte que l'humiliation suprême… Elle hésita encore un instant, mais Orane lui tournait ostensiblement le dos, apparemment décidée et si sûre d'elle, alors qu'elle-même se sentait brisée… Ses dernières brides de fierté s'évaporèrent. - Attends Orane, attends, je vais le faire, dit Laure en s'agenouillant. Les élèves présents lui jetèrent un regard étonné et amusé. - Je te supplie à genoux, Orane, ne montre pas les photos… Tu vois, je ferai tout ce que tu veux, mais ne le fait pas, s'il te plaît…murmura Laure, les yeux baissées. Orane savourait ce moment… Elle n'en avait pas cru ses yeux, tout à l'heure, en voyant cette garce se caresser à fond devant elle… Elle avait alors aussitôt décidé de sauter sur l'occasion en prenant son appareil, et elle avait pu prendre une dizaine de clichées avant que Laure ne l'aperçoive. Et maintenant, elle avait Laure en larmes, à genoux, prête à tout pour récupérer ces photos… Elle se reprit alors le contrôle des pensées qui se bousculaient dans sa tête. En jouant finement, elle aurait tout pouvoir sur Laure. Sur sa rivale. Cette pensée l'excitait au plus haut point. Mais pour le moment, il valait mieux la laisser mijotée un peu. - Je préfère ça, dit-elle en jetant un œil sur Laure. Je t'appellerai demain pour te dire ce que je décide… Je te conseille de ne pas trop t'éloigner de ton téléphone. Sur ce, elle tourna les talons et monta dans son bus, laissant Laure seule, toujours à genoux. A Suivre.. L'histoire de l'une de mes amies… Laure ne dormit pas de la nuit. La pensée de ces horribles photos d'elle étalées à la vue de tous la mettaient au supplice. Elle savait par avance qu'elle ferait tout ce que voudrait Orane. Tout plutôt que ce cauchemar. Et au fond elle tourbillonnait la pensée qu'elle méritait plus ou moins la situation dans la quelle elle se trouvait. Mais pourquoi avoir pris cette manie de se caresser les vendredis soir au Lycée ! Laure se méprisait. Encore heureux qu'Orane n'ait pu lire ses pensées à ce moment là. Oui, elle ferait tout pour qu'elle ne divulgue pas son secret. Et elle tremblait à cette pensée… Orane était la dernière personne à qui elle souhaitait être livrée pieds et poings liées. Elle regarda encore une fois la pendule du salon. 11 h 30. Et Orane n'appelait toujours pas. Qu'attentait-elle donc ? Laure était tendue et nerveuse, littéralement tourmentée. Cette attente l'exaspérait. Et Orane le savait. Elle appela à 18 H 00. Laure se rua sur le téléphone, et soupira de soulagement en entendant la voix d'Orane. - Bien, dit-elle sèchement, j'ai décidé de te donner une chance, par pure pitié. Sois chez moi dans un ¼ heure. Dis à tes parents que tu passeras la soirée chez moi, pour réviser. Je t'expliquerai ce que j'attends de toi en échange de ma discrétion.. Laure essaya de parlé, mais Orane avait déjà raccroché. Alors, l'esprit vide, elle laissa à mot à ses parents, pris son scooter, et partit chez la jeune fille. Elle sonna au portail de la maison d'Orane. Celle ci lui ouvrit peu à prés, et lui ordonna de la suivre. Orane conduisit Laure au salon, et s'assit dans un épais fauteuil de cuir. Elle portait une jupe légère, de fins escarpins à talons et un chemisier noir. Son maquillage étirait l'oblique de ses yeux. Elle était magnifique ainsi, et Laure se sentit mal à l'aise dans son pull sans forme et son jean moulant. - Non, toi, tu reste debout, dit-elle brusquement lorsque Laure fit également mine de s'asseoir. Et tu écoute ce que j'ai à dire. Laure obéit en rougissant. Orane lui tendit une liasse de photos. C'était pire que tout ce qu'elle avait imaginé. On voyait tout. Son sexe ouvert, le clitoris dilaté, ses doigts rentrés à moitié dans sa chatte, l'autre main pinçant et étirant son téton. Mais le pire était l'air extasié qu'elle affichait, la bouche ouverte, la langue à demi sortie. Une vraie fille de porno… - Joli, non ? Tu peux garder celles ci, si tu veux, j'en ai tiré d'autre, et j'ai le négatifs. Pour l'instant, je les garde pour ma collection privée. J'adore l'air de salope que tu as quand tu jouie… Mortifiée, Laure ne releva pas l'insulte. - En revanche, je veux bien ne les montrer à personne si, pour le reste de l'année scolaire, tu t'engages à être mon esclave dévouée et obéissante. Laure déglutit avec peine. Il restait six mois avant le bac. - Comment saurai-je que tu ne les montreras jamais ? - Il faudra bien me faire confiance. Et je te confirai le négatif après le bac. Si tu refuses, sort immédiatement de chez moi. Si tu accepte, tu te mets à genoux, les mains dans le dos. Tu as dix secondes. - J'ai ta parole ? murmura Laure. - 7 secondes. Laure céda. Elle pouvait déjà gagner un sursis. Après elle aviserait. Ses genoux touchèrent le tapis, ses poignets se croisèrent dans son dos. Elle se livrait à Orane. - Si tu savais depuis le temps que je rêve de cet instant, s'exclama-t-elle. Tu feras tout ce que je veux, tu seras mon jouet ! Sinon, tu sais ce qui t'attend, non ? - Oui, murmura Laure, les joues en feu… - Alors je veux que tu le dises. Que tu dises " Moi, Laure Clermont, déclare être l'esclave et le jouet d'Orane de Bréot. " Laure répéta la phrase avec peine, en bredouillant. - Plus fort, je n'entends rien - Moi, Laure Clermont, déclare être l'esclave et le jouet de Mademoiselle Orane de Bréot - Encore, articules bien… - Moi, Laure Clermont, déclare être l'esclave et le jouet de Mademoiselle Orane de Bréot dit enfin Laure d'une voix forte et claire, en fixant Orane dans les yeux. - Baisses le regard, garce. Quand nous serons seules, tu devras toujours baisser les yeux, compris ! - Oui fit-elle en s'exécutant - Et tu devras aussi me vouvoyer, et tu m'appelleras Mademoiselle Orane, compris. Laure n'avait jusqu'alors jamais connue pareille humiliation. Mais elle ne pouvait s'empêcher d'obéir, redoutant ce dont était capable le jolie asiatique. Au fond elle, elle était même reconnaissante envers le silence d'Orane, et redoutait de lui déplaire et qu'elle ne change d'avis. - Oui Mademoiselle Orane dit-elle. Orane fut étonnée de la soumission aussi rapide de Laure, d'habitude si fière. Son regard autrefois altier était à présent celui d'une biche apeurée. Elle était aussitôt rentrée dans le rôle du gibier. Orane se dit qu'il serait stupide de ne pas en profitée. Elle avait toujours rêvé d'être une maîtresse entourée d'esclaves, et le fait qu'il s'agisse de Laure rendait la situation encore plus agréable. Et encore plus excitante. - Parfait. Mes parents seront absents ce week-end. Nous serons plus tranquilles. On dirait que ta vie va devenir bien différente, à présent, n'est ce pas ma petite Laure ? - Oui, Mademoiselle Orane souffla Laure. Orane était de plus en plus exaltée. L'instant était crucial. Elle devait maintenant définitivement asseoir sa suprématie. - Maintenant, Laure, tu vas te déshabiller intégralement… - Comment, mais … Laure ne s'attendait pas du tout à ça. - Tu m'as très bien entendue ! Après tout, cela ne paraissait pas te gêner tant que ça hier. Allez hop, à poil ! Comme la traînée que tu es ! - Je ne …commença Laure. Elle n'eut pas le temps de finir sa phrase. En un éclair, Orane était sur elle, et lui balançait une gifle retentissante. - Tu sais que ma patience est très limitée, Laure, ne m'obliges pas à répéter mes ordres. A moins que tu ne préfère arrêter là… Et en subir les conséquences. - Non, pardon, je ne…pleura Laure. Une seconde gifle, encore plus forte, lui renversa la tête en arrière. - Pardon qui ? - Pardon Mademoiselle Orane reprit Laure en se frottant la joue. - Alors fit-elle en se rasseyant, c'est ta dernière chance. A poil ! En tremblant, Laure, totalement vaincue et soumise, fit passer son pull par-dessus sa tête. Puis, toujours à genoux, elle entrepris de défaire un à un les boutons de sa chemise. Elle fut bientôt en soutien gorge, rougissant de honte de se sentir si vulnérable devant Orane qui la dévorait des yeux. Elle lui apparut alors terriblement supérieure à elle-même, habillée, assise bien droit dans son fauteuil, alors qu'elle-même, à ses pieds, retirait un à un ses vêtements comme autant de relique de sa dignité perdue. Elle n'hésita qu'un instant avant de retirer son soutien gorge. A l'air libre, ses tétons se dressèrent soudainement, tandis qu'une chaleur sourde montait dans son ventre. La situation était bien trop similaires à ses fantasmes secrets et refoulés. Elle se rendit compte avec horreur que cela l'excitait d'être humiliée de la sorte par sa rivale. Il ne fallait absolument pas qu'Orane s'en aperçoivent. Baissant complètement la tête, elle se redressa afin d'ôter son jean. - Non, non, les esclaves comme toi se déshabillent à genoux devant leur maîtresse. Par respect, tu comprends. - Oui, Mademoiselle fit rapidement Laure en reprenant sa position initiale. Orane se régalait de voir Laure se tortillée maladroitement pour enlever son jean moulant. Elle avait immédiatement senti le trouble de celle-ci, et s'en amusait énormément. - C'est un plaisir de voir tes grosses loches se dandinées ! Allez, plus vite. Laure se dépêcha alors, ses seins remuant plus avant alors qu'elle luttait pour s'extraire de son jean moulant. Elle y parvint finalement, et était à présent en slip de dentelle mauve et en socquettes blanches. - J'ai dit intégralement à poil ! insista Orane, sans aucune pitié. Et Laure obéit. Docilement. Révoltée par son abjecte soumission. - Tu as la chatte très poilue, dis-moi. Non, te caches pas, met les mains sur la tête, oui voilà. - Ecartes les jambes, plus que ça, bombe la poitrine. Laure obéissait mécaniquement. Définitivement matée, elle écoutait les commentaires d'Orane, qui la détaillait comme une marchandise. - Tu as vraiment tout d'une poufiasse, avec tes grosses loches et ta chatte poilue… Je me suis toujours demandé ce qu'on trouvait de sexy en toi. Tournes toi que je vois ton cul. - Prosternes toi, la tête entre les bras, les fesses bien relevées. Comme Laure n'obéissait pas assez vite à son goût, elle se leva pour lui assener quelques claques sur les fesses. Celle ci ne résista pas, et prit rapidement cette pose grotesque. -Tu as un joli cul, je te l'accorde, dit-elle en appuyant la semelle de son escarpin à la naissance de la raie. Si tu ne veux pas le voir rougir, je te conseille d'obéir plus vite. Si je ne suis pas satisfaite de tes services, esclave, je pourrais ne plus te faire de faveur. - J'ai compris, Mademoiselle. - Ne bouges plus. Je vais te prendre tes vêtements, je te les rendrais plus tard, tu n'en auras pas besoin entre temps, OK. - Comme vous désirez, Mademoiselle Orane. Laure ne bougea pas d'un pouce, en entendant le pas d'Orane qui emmenait ses vêtements. Totalement abasourdie par le tournant qu'avait pris sa vie en moins de 24 heures. Celle ci revint peu après avoir les avoir enfermé au placard, une longue règle de plastique à la main.. - Allez, debout, et suis-moi Orane la conduisit à la cuisine, et lui tendis un petit tablier blanc qui ne cachait rien de sa nudité et un bonnet de bonne, ainsi qu'une ridicule paires de claquettes rose vif. - C'est à notre cuisinière, mais elle n'est pas le Week-end. Alors, c'est toi qui le remplaceras et qui seras ma bonniche, ok ! - Oui, Mademoiselle Orane. - Oui, quoi ? - Oui, je serai votre bonniche dit Laure en enfilant les accessoires. - Alors, au boulot, j'ai promis à mes parents qu'ils trouveraient la maison nickel à leur retour. Tu vas nettoyer le carrelage, et tu as intérêt à ce qu'il brille, ordonna-t-elle en lui assenant un coup de règles sur la cuisse. - Et pas de balai pour toi, tu passeras la serpillière à quatre pattes. La règle lui cingla de nouveau la cuisse, plus fortement. Laure sursauta sous le coup de la douleur, et tomba à genoux. - Tu as vingt minutes ajouta Orane. Tu me rejoindras ensuite au salon, en m'apportant un verre de vin. Si le sol n'est pas nickel à ce moment, je te fais rentrer chez toi à poil. Laure resta seule dans la cuisine, la tête lui tournait… La cuisine lui paraissait immense. L'histoire de l'une de mes amies… Laure avait mal au genoux, cela faisait déjà un bon moment qu'elle astiquait le sol de la cuisine. Elle leva les yeux en s'essuyant le front. Elle avait presque finit, quand elle entendit un tintement derrière elle. En se retournant, elle vit Orane qui tenait à la main une clochette d'étain. - C'est ainsi qu'on sonne les bonniches dans ton genre. Dès que tu entendras ce son, cela signifiera que tu devras immédiatement te mettre à ma disposition. - Bien, Mademoiselle fit Laure. - Je vois que tu n'as pas respecté le délai ! gronda Orane. Il y a déjà cinq bonnes minutes que j'attends mon verre. - Je … je vous prie de m'excuser, bégaya Laure. Elle savait qu'Orane mentait et qu'il restait encore un peu de temps, mais elle n'osait pas protestée. - Je croyais pourtant avoir été claire dit Orane d'une voix glaciale en se rapprochant de Laure, les bonniches feignantes sont renvoyées ! Orane saisit Laure par les cheveux, et la traîna littéralement jusqu'à la porte d'entrée. Laure n'eut pas le temps de se débattre, et se retrouva sur le seuil de la porte. Terrifiée. Orane allait mettre sa menace à exécution, et la forcée à rentrer dans cette tenue. - Non-pitié, supplia-t-elle en se traînant aux pieds de la belle brune. Pas ça, j'ai fait tout ce que vouliez. Pardon, pardon, je jure qu'a présent je vous obéirai à la perfection. Vous pourrez faire tout ce vous voudrez de moi, je serai une bonniche idéale… Une esclave dévouée… Je vous en supplie Maîtresse, laissez moi être votre esclave ! Au fond elle-même, Laure était stupéfiée de prononcer de telles paroles. Ce qui lui paraissait encore hier comme étant impensable semblait à ce moment presque naturel face à l'inflexible volonté de sa rivale. - Vraiment ? Voyons, puisque tu es incapable d'être une servante, peut être pourrais-tu faire un bon paillasson ironisa Orane en tendant son escarpin vers le visage de Laure. Laure hésitas un court instant, avant de déposer lentement un baiser sur le cuir de la chaussure. - Je ne t'ai demandé de baiser mes pompes, mais de les nettoyer ! Je veux voir ta langue bien sortie ! Alors Laure se pencha en avant et effleura de sa langue le cuir craquant, elle frissonna et quelque chose explosa dans sa tête quand elle appuya plus fortement sa bouche contre le pied d'Orane, elle ne savait pas qu'elle était capable de se comporter comme une chienne docile, cette révélation la troublait beaucoup. Orane admirait le spectacle de cette belle lycéenne bourgeoise quasiment nue, prosternée devant elle, ses belles fesses rondes offertes, qui embrassaient ses escarpins avec ferveur. - Lèche-les, nettoie-les bien pour qu'elles brillent, je veux que ta langue n'oublie rien, lèche ma salope, lèche aussi la semelle, je veux qu'elles soient impeccablement propres, ensuite tu les sécheras avec tes mamelles, oui avec tes jolis seins fermes et doux, tu vas frotter tes gros nibards contre le cuir de mes chaussures! Laure rougit d'humiliation, elle se mit à lécher les chaussures avec application en s'efforçant de nettoyer la plus grande surface possible comme une bonne ménagère consciencieuse, elle insista sur les petites taches de boue, jusqu'à les dissoudre complètement. Orane appréciait le travail avec satisfaction. Elle se pencha pour flatter le cul de son esclave, Laure tressaillit involontairement de plaisir sous la caresse. Quand elle eut terminé, elle se redressa pour prendre chaque pied d'Orane sur sa poitrine, elle comprima ses seins lourds pendant que sa jeune maîtresse faisait aller et venir la chaussure contre la peau douce, les boucles éraflaient les mamelons déjà endoloris. - Voilà qui est bien mieux se délecta Orane, je pense que je pourrai peut être bien tirée quelque chose de potable d'une gourde comme toi, finalement… - Merci Mademoiselle répondit Laure, sincèrement reconnaissante - Ne te réjouies pas trop vite ! Tu mérites une punition, ça t'apprendra à bâcler ton travail. Allez, ouste, au salon ! Et à 4 pattes, sur les avant-bras. Plus vite, au trot ! Laure se démenait sur l'épaisse moquette, les coudes et les genoux rougis par les frottements. Orane accompagnait chacune de ses exhortations d'un coup sec sur ses fesses à l'aide de la règle en plastique. - Grimpe sur la table basse, la tête entre les bras, le cul bien haut. Laure s'exécuta et plaça sa tête entre ses avant-bras. Orane pinça alors la base charnue d'une de ses fesses et tira dessus pour l'obligée à bomber d'avantage sa croupe. - Plus haut le cul ! Et écartes bien les cuisses ! Laure poussa un cri étouffé en prenant immédiatement la pose requise. Elle était consciente de sa posture obscène qui ne cachait rien de son intimité. Les lèvres de sa chatte se sont décollées et elle sentait les nymphes qui sortaient doucement en se gonflant. Passive, elle regardait ses seins que la pose faisait pendre. Ses tétons étaient enflés et durs. Cette exhibition forcée devant sa rivale ne la laissait pas insensible, et cela la mortifiait. Orane brisa le silence - Alors, Laure, que mérite les mauvaises élèves qui ne s'appliquent pas suffisamment sur leur travail ? - Une… Une fessée répondit Laure qui avait parfaitement compris ou voulait en venir la jeune asiatique. - Exact ! Et ne t'avises pas de protéger ton cul avec tes mains, compris. - Oui, Mademoiselle gémit Laure. Elle se crispait, attendant le premier coup. Elle sentait le regard d'Orane fouillée chaque recoin de son vagin et de son anus largement ouverts. La rondelle brune, élargies par sa cambrure, était largement visible sur sa peau légèrement mate. Les nerfs à vif, elle attentait le bon vouloir de Mademoiselle. La première la claque la surprit, et ce fut bientôt une avalanche de gifles qui s'abattit sur son derrière. Orane y allait de bon cœur. Laure se tortillait en vain pour éviter les coups. La douleur était terrible, mais elle restait néanmoins prosternée, le cul en l'air. La chaleur qui irradiait ses fesses se propageait lentement vers ses cuisses, à l'intérieur de son ventre. Cette fièvre gagna bientôt son vagin tout entier. Ses sanglots se transformaient en petits gémissements qu'elle trouvait abjects de sa part, et ce à mesure que sa chatte devenait poisseuse. Laure essaya en vain de lutter contre son émoi. Orane visait maintenant directement entre ses cuisses, frappant avec un plaisir sadique les lèvres gonflées du sexe. Cela faisait un bruit spongieux qui la mettait aux anges. - Voyez-vous ça riait-elle, il suffit qu'on lui touche lui cul pour que notre petite vicieuse de Laure s'enflamme. Tu es encore pire qu'une chienne, ma parole, tu dégoulines de mouille. Tu n'as pas honte, dis-moi ? Orane lui envoyait maintenant de petites pichenettes vicieuses sur son clitoris gonflé. A chaque coup, Laure avait la sensation qu'une décharge électrique traversait son corps et était secouée de spasmes. Elle lutta de toutes ses forces afin d'empêcher le plaisir de l'envahir. Si elle jouissait, se disait-elle, le triomphe de son ex-rivale serait total, elle la posséderait alors corps et âme. Mais en vain. Jamais ses séances de masturbations ne lui avaient permis de ressentir un plaisir aussi pur et intense. Sa jeune maîtresse alternait caresses et coups avec virtuosité, faisant coulisser deux doigts dans sa chatte tout en lui pinçant méchamment le gras de la cuisse. Les moqueries et les insultes résonnaient dans sa tête. L'orgasme qu'elle éprouva fut phénoménal, et la laissa pantelante, les jambes en coton. Son corps était encore parcouru de longs frissons quand Orane se plaça devant elle. Elle n'avait rien perdu de sa superbe, et lui enfonça sans ménagement ses doigts dans la bouche. - Nettoie-moi tes cochonneries ! Tu viens de te comporter comme la dernière des truies, tu t'en rends bien compte j'espère. Laure ne répondit pas. Seulement, elle léchait sa propre mouille qui maculait les doigts d'Orane. Encore sous le choc d'une jouissance comme elle n'en avait jamais connue, elle se sentait dans la peau d'un animal domestique qui témoigne son respect pour la main de sa maîtresse, pouvant dispenser aussi bien les coups que les caresses. - As tu encore des doutes sur ta condition d'esclave ? lui demanda Orane. - Non, dit-elle en continuant d'embrasser les doigts de sa maîtresse. - Personnellement, cela ne m'étonne guère, continua Orane en souriant, tes airs de sainte nitouche ne m'ont jamais trompée. Ceci dit, je ne pensais quand même pas que tu serais d'emblée si docile. Ni que tu puisses être aussi chaude du cul. Quelle salope tu fais ! J'ai bien vu que tu as commencé à t'exciter dès que je t'ai fais mettre à poil. Allez, avoue, sale petite gouine ! - Oui, Mademoiselle balbutia Laure - Oui, quoi ? Je veux te l'entendre dire insista Orane, à moins que tu ne préfère que j'en parle demain au lycée. - Oui, cela m'a excité… murmura Laure - Plus fort " Oui, Mademoiselle, cela m'as excité me montrer mon gros cul de chienne ", allez répète, à haute et intelligible voix. - Oui Mademoiselle, cela m'as excité me montrer mon gros cul de chienne Laure dut ainsi répéter chaque phrase que lui dictait la jeune fille, buvant jusqu'à la lie le calice de son humiliation. Orane lui tirait l'oreille chaque fois qu'elle hésitait, bafouillait ou parlait trop bas. - Oui, Mademoiselle, j'aime exhiber mes loches de vache - Oui, Mademoiselle, j'aime qu'on me rougisse ma croupe de salope par une fessée - Oui Mademoiselle, je suis une chienne en chaleur qui aime qu'on la tripote - Oui, Mademoiselle, j'ai mouillé comme la dernière des putes - Oui Mademoiselle, je suis une petite gouine vicieuse qui jouie quand on la branle - Merci Mademoiselle Orane d'avoir eu la patience de punir la pétasse prétentieuse que je suis, et la bonté de me faire jouir - Non Mademoiselle, jamais je n'avais jouie aussi fort lorsque je me branlais comme une catain dans les vestiaires. En prononçant ces mots, Laure s'en imprégnait involontairement, et ne les trouvait pas si éloignée que ça de la vérité. Elle ne voyait plus en Orane la rivale ou même la camarade de lycée, mais quelqu'un d'infiniment supérieure à elle-même, une des ces implacables divinités anciennes qui dispensait au gré de ses humeurs la joie ou la désolation chez ses adorateurs. A l'inverse, elle se sentait elle-même faible et grotesque, incapable de contrôler les pulsions de son corps. Comment avait-t-elle pu autrefois se croire au-dessus d'Orane ? Sa place était effectivement celle de l'esclave, elle le savait maintenant. Elle était vaincue, brisée, la honte et la soumission avaient remplacé sa fierté et sa volonté. L'histoire de l'une de mes amies Une heure plus tard, Orane sirotait un verre, confortablement installée dans le canapé de cuir du salon. Elle profitait du spectacle de Laure qui, accroupie, finissait le ménage en balayant le parquet à l'aide d'une pelle et d'une simple balayette. Elle se disait qu'elle avait eu raison de lui interdire le balai. Cela obligeait Laure à se tenir à croupetons pour nettoyer le sol, posture qui tout en étant inconfortable et humiliante, exhibait de fort joli façon le cul sexy encore rougi de sa victime. Elle avait parfaitement mené son jeu, profitant brillamment des tendances masochistes cachées de Laure qu'elle avait deviné devant son attitude soumise face à son chantage. Ce dernier n'avait d'ailleurs servi qu'à révéler cet aspect de sa personnalité. Comme il allait être plaisant de la posséder, pensait-elle, de l'avilir, d'obtenir d'elle tout ce qui me passe par la tête. Et de lui faire aimer ça. Laure était dorénavant son jouet, sa poupée de chair. Cela lui donna une idée. Elle fit tinter sa clochette d'étain, et comme convenu, Laure cessa immédiatement son travail pour se mettre à sa disposition. Après la fessée, Orane l'avait littéralement dressée aux positions qu'elle devait adopter lorsqu'on la sonnait, selon l'expression de sa maîtresse. A genoux, elle déposa deux longs baisers sur ses escarpins avant de se redresser, tête basse, les mains dans le dos, la poitrine tendue et les cuisses bien écartées : - Votre esclave attend vos ordres, Mademoiselle - J'ai envie de jouer un peu avec ma grosse poupée, dit-elle souriante en lui caressant la joue. Debout, suis-moi ! Laure suivit en silence Orane jusqu'à la vaste salle de bain, remplie de miroir. Là, sous ses ordres, elle retira son tablier et pris position nue sur le bidet. Orane sortit en lui recommandant en souriant de rester sage jusqu'à son retour. Domptée, Laure était encore sous le choc de l'orgasme violent qu'elle avait ressenti durant sa punition, et qui lui avait révélé sa nature masochiste. Elle appréhendait malgré tout ce qu'elle allait devoir subir. Les années de rivalité entre les deux jeunes filles avaient sans aucun doute exacerbé la nature sadique de la belle asiatique. Et Laure n'aura pas le choix, elle devra obéir aux moindres de ses caprices. Orane revint avec deux cordes à sauter, qu'elle utilisa pour ligoter Laure au bidet, les bras fortement tirés en arrière, les cuisses largement écartée, les chevilles solidement attachées à la tuyauterie. La position était douloureuse, et dévoilait toute l'intimité de Laure. Orane tira une poupée Barbie dénudée de sa poche. - Tu vois cette poupée, dit-elle, j'ai beaucoup jouée avec quand j'étais gamine. Tu n'ais rien d'autre qu'une version plus élaborée de cette poupée, maintenant. Avec cependant une légère différence, tu vois laquelle ? - Non, Mademoiselle répondit Laure, décontenancée par cette question - Allons réfléchis un peu, espèce de gourde, fit Orane en lui pinçant le téton, étirant cruellement son sein. - Ouch, gémit Laure je ne sais pas, Mademoiselle, excusez ma stupidité. Elle se rabaissait délibérément, essayant de plaire servilement à sa dominatrice pour faire cesser la douleur qui enflammait son téton. - Erreur, petite conne ricana Orane en décrochant une pince à linge de l'étendoir et en la fixant sur le téton distendu de Laure. A chaque erreur, tu auras droit à une autre pince. Allons, j'attends, quelle est la différence entre cette Barbie et toi ? La douleur qui envahit le sein de Laure fut horrible, et elle ne pus s'empêcher de crier, ce qui lui valu deux gifles bien appuyées. - Silence ou je double la punition l'avertit Orane Laure sut devant le regard mauvais de celle-ci qu'il était inutile de supplier. Elle devait jouer à ce jeu pervers. - Elle… elle est blonde répondit-elle après une courte réflexion - Erreur encore, tu es décidément bête à manger du foin. La prochaine est pour ton clito, je te préviens dit-elle en lui fixant une seconde pince sur l'autre téton. Laure serra les dents en remuant dans ses liens. Elle essaya à nouveau de se concentrer malgré la souffrance qui lui enflammait la poitrine. Elle fixait l'objet de plastique nue que tenait Orane. Elle eut une idée, mais les mots ne purent sortir de sa bouche. Orane allait-elle réellement lui infliger ça ? Elle en mourrait de honte. - Pas de réponse ? questionna-t-elle en approchant une pince de son minou. Laure réagit devant la menace et marmonna piteusement sa réponse : - Elle… Enfin son…sa chatte est épilée. Pas la mienne. - Bien, tu vois quand tu veux. Et comment pourrais-je arranger ça, à ton avis ? - En… en me rasant…souffla Laure, les joues en feu. Oh! Pitié, Mademoiselle, vous n'allez pas faire ça ? Elle pleurait maintenant à chaudes larmes. Toutes les filles le verront sous les douches du vestiaire… Elles se moqueront de moi, tout le monde le saura… Pitié, vous aviez promis… - Cesses immédiatement tes jérémiades lui intima l'adolescente en lui pinçant fermement les joues entre le pouce et l'index. Inutile de pleurer, tu ne m'apitoieras pas. De plus, Je ne t'ai pas permis de prendre la parole. Orane fouilla alors dans le panier à linge sale, en sortit une de ses culottes et l'enfonça profondément dans la bouche de Laure. Le bâillon de fortune avait une odeur forte et un goût âcre. - Tu ne pensai tout de même pas continuer à te pavaner au Lycée comme si de rien n'était. Ton statut de " fille la plus populaire du bahut ", c'est fini, je te rappelle. Préfères tu montrer ta chatte rasée ou les photos ? A moins que je ne te fesse cul nu devant toute la classe, jusqu'à ce que tu en jouisses comme la petite pute maso que tu es ? Laure hocha la tête en tremblant. La culotte l'étouffait presque, et elle ne pouvait rien dire. - Je pensais bien, poursuivi sa maîtresse, ton corps m'appartient maintenant, et j'en ferais ce que bon me semble. Pour te punir d'avoir discuter mes ordres, tu garderas les pinces sur tes pis de vache durant ton rasage. Orane commença par dégarnir sa toison brune et dense à l'aide d'une petite paire de ciseaux. Elle prit ensuite sur le lavabo la crème à rasée et le blaireau de son père. Le contact des poils de soie fit frissonner Laure. Le massage brutal de son bouton d’amour par les poils rudes et la douceur de la crème ranima le feu qui sommeillait dans son ventre. La douleur émanant des pinces à linges se faisait plus douce. Puis Orane commença à la raser à l'aide d'un rasoir jetable. Le contact du rasoir, amorti par la mousse, caressant sa peau, suscitait des sensations très agréables, surtout sur les parties les plus proches de ses lèvres. De temps à autres, Orane s'amusait à passer un doigt, ou bien le manche du rasoir, sur son clitoris, ce qui arrachait un gémissement à Laure. Lorsque le travail fut presque achevé, elle lui fit relever très haut le bassin. Elle se saisit de ses fesses en les écartant largement pour éliminer quelques poils situés plus bas, vers l'anus de sa jolie esclave. Cette opération prit une dizaine de minutes environ, à l'issue desquelles Orane la rinça en ouvrant le robinet d'eau froide du bidet. Laure sursauta au contact de l'eau glacée sur son minou ouvert. - Ne t'échauffes pas si vite, cochonne ! Alors, qu'en penses tu ? Moi, je te préfère ainsi, en grosse Barbie vicieuse. Laure contemplait avec horreur son bas ventre rendu rouge par le feu du rasage. Elle ne s'était jamais sentie aussi impudique de toute sa vie, découvrant dans les miroirs son ventre complètement lisse, comme lorsqu'elle était enfant. - Oui, c'est bien mieux comme ça, dit sa propriétaire. Je te trouve encore plus excitante comme ça. On voit beaucoup mieux tes lèvres, surtout lorsqu'elles sont bien gonflées comme c'est le cas maintenant. On va jouer un peu à présent. Je te vais te prouver que ton corps est à moi. Je suis sur que tu vas adorer. Orane lui ôta alors son bâillon et s'accroupit alors entre les cuisses ouvertes de la jeune fille et commença à la caresser, alternant ses doigts et sa langue. Laure n'osa pas protester face à cette caresse lesbienne imposée. Elle jouait avec les grandes lèvres, titillant ensuite le clitoris, enfonçant lentement ses doigts à l'intérieur du vagin de sa poupée, revenant ensuite à son bouton... Elle lui détacha les jambes et fit basculer encore plus son bassin pour ouvrir plus largement ses fesses, et commença titiller et à lécher le petit trou. Sentir la langue forcer son anus, pendant que les doigts de sa Maîtresse s'activaient sur sa foufoune arrachait à Laure des gémissements de plaisir. Ce n'était pas la première expérience saphique de la jeune asiatique, et elle était vraiment experte. Laure ne tarda pas à sentir le plaisir monter dans ses reins, malgré le fait qu'elle ne se soit jamais sentie attirée par les filles. Les miroirs lui renvoyaient son image, pinces aux seins, cuisses largement ouvertes, offrant sa chatte ouverte et mon anus au regard narquois d'Orane. Orane saisit une poignée de la corde à sauter, assez épaisse et courte, et lui montra en souriant, avant d'obliger Laure à la lécher. Elle s'amusa quelques instants à le faire aller et venir dans sa bouche, tout en lui disant de l'imaginer en place entre ses fesses. - Non, c'est trop gros, je vous en prie, ça va me faire mal, tenta d'argumenter Laure dès qu'Orane l'eut sorti de sa bouche - Mais non, tu vas voir comme ça va rentrer facilement, répondit Orane. Elle en posa doucement l'extrémité sur son anus trempé de ses propres secrétions. Elle appuya lentement, mais fortement, la poignée sur sa rosette, que Laure sentis s'ouvrir d'un coup pour avaler le gode improvisé. Orane l'avait bien dilatée de ses doigts, et elle ne ressentit presque pas de douleur, juste une impression profonde de pénétration. C'était étrange... Laure n'avait imaginé qu'elle pourrait ressentir un plaisir anal. Elle avait toujours trouvé cette pratique dégoûtante, et jamais elle n'avait imaginé subir cela lorsqu'elle se caressait. Elle appréciait pourtant malgré elle cette sensation persistante et stable d'être pénétrée, prise, au plus profond de soi. Rapidement Orane recommença à la masturber, se concentrant désormais uniquement sur sa chatte offerte. Les sensations anales de Laure s'ajoutaient en les décuplant à celle que la jeune asiatique déclenchait en manipulant son minou. Elle suçait son clitoris, tout en la pénétrant de deux ou trois doigts. Mais la petite garce savait l'amener au bord de la jouissance, haletante, pour s'arrêter juste avant qu'elle n'atteigne l'orgasme, l'abandonnant chaque fois plus frustrée pour recommencer ensuite. Ce petit jeu semblait lui plaire au plus haut point. A chaque fois, son plaisir montait plus vite, mais les caresses d'Orane s'arrêtaient aussi chaque fois plutôt, et ses gémissements de plaisir se transformaient en cris de frustration. - Alors, tu aime ce petit jeu, ma chère Laure? lui demanda Orane. - Je... je n'en peux plus Mademoiselle, lui répondis Laure haletante... Je vous en prie laissez moi jouir… Je n'en peux plus". ainsi, enfin délivrée de tes inhibitions, obnubilée par ton désir. Car c'est ce que tu es au fond, Laure, une petite pute prête à tout pour jouir. - Oh! oui, s'il vous plait, Mademoiselle, faites jouir votre pute…Par pitié - Ah! tu reconnais enfin que ton corps est à moi - Oh! Oui, Mademoiselle, mon corps est à vous. Vous pouvez me raser, m'humilier… Je vous appartiens… - Soit, je consens à te laisser jouir. Mais cela ne sera pas si facile. - Je ferais tout… tout… geignait Laure - Je te proposerai bien de te finir avec tes doigts, mais tes poignets attachés dans le dos ne te seraient pas d'une grande utilité, dit Orane en riant. Je vais te détacher du bidet, ce qui te permettra de bouger, mais tu garderas les poignets attachés dans le dos. Tu devras te finir devant moi comme ça, sur ma chaussure, comme une chienne en chaleur ! Orane lui délia un instant les poignets, avant de les serrés à nouveau à l'aide de la corde dont la poignée sortait comiquement du cul de Laure. Elle libera la jeune fille du gode et s'assit sur le rebord de la baignoire, le pied tendu. Toute honte bue, prête à tout pour éteindre le feu qui lui brûlait le bas ventre, Laure s'accroupis aux pieds de sa jeune Maîtresse, écartant largement ses cuisses. Elle se cambra pour que sa maîtresse puisse apercevoir les replis de son vagin. Orane glissa son pied entre les cuisses nues, contre la vulve ouverte et trempée de Laure. - A toi maintenant, remue ton cul de chienne. Fait toi jouir, tu as ma permission Laure commença alors un mouvement de va et vient avec son bassin sur l'escarpin, sa position obscène et avilissante la rabaissant au rang d'animal. Elle avait l'impression que son vagin se dilatait sous la pression du pied. Les boucles griffaient ses lèvres, lui arrachant des gémissements de plaisir. Laure continua ses va-et-vient, tout en luttant pour ne pas perdre l'équilibre. Ses mains dans le dos rendaient la tâche plus difficile, mais elle parvenait tout de même à se frotter sur la chaussure trempée de son suc, en maintenant un bon rythme qui l'emmena rapidement au bord de l'orgasme. Les miroirs lui renvoyaient l'image d'une fille en rut, entravée, se frottant frénétiquement le sexe sur la chaussure d'une des camarades de classe. Elle sentait le regard d'Orane sur elle, la ravalant au rang de chienne en chaleur se frottant contre les jambes de sa Maîtresse, prête à tout pour jouir enfin. Paradoxalement, cette honte lui permis d'atteindre un orgasme exceptionnel, Laure eu littéralement l'impression d'une explosion au moment ou elle jouissait, s'entendant hurler comme jamais auparavant. Elle s'écroula ensuite sur le sol, trempée, épuisée mais enfin comblée. - Eh bien, on dirait que c'était une question de vie ou de mort, reprit sa propriétaire après quelques minutes... Pour un orgasme, c'en était un... Je pense que la démonstration est suffisante. C'était un jour important pour toi, aujourd'hui, Laure. C'était ton premier jour d'esclave. Laure, sonnée, ne répondit pas. Orane sortit un instant afin de chercher ses habits. - Tu peux te rhabiller, reprit la jeune fille en souriant. Je crois que c'est assez pour une première prise de contact, tu peux rentrer chez toi. Je te téléphonerai demain pour te donner des instructions concernant la conduite que tu adopteras dorénavant au Lycée. La prochaine fois, nous passerons à des choses plus sérieuses... rajouta-t-elle en souriant de façon énigmatique. L'histoire de l'une de mes amies. Laure se leva tard le dimanche matin. Le samedi soir, elle s'était effondrée dans son lit après son retour de chez Orane. Epuisée, elle s'était endormie immédiatement. Le soleil brillait haut dans le ciel, inondant sa chambre de lumière. Pendant un instant, encore dans les brumes du sommeil, elle crût avoir rêver tout ceci. Oui, se disait-elle, ce qui s'est passée hier soir était bien trop irréel. Jamais une fille de son rang, enviée de tous et respectée, n'aurait pu avoir un tel comportement. Surtout devant une fille, qui malgré tous ces efforts, ne lui arrivait pas à la cheville en terme de popularité. Elle se redressa dans son lit, promenant son regard sur le décor familier de la vaste pièce. Ses innombrables peluches reposant sur une étagère complète, témoignaient de son enfance dorée. Des posters tapissaient les murs de sa chambre, comme chez toutes les filles de son âge. Tout le vernis de la normalité se disait-elle. Puis elle regarda ses poignets qui portaient encore les traces de la corde à sauter qui avait servi à l'attacher hier soir. Elle se revit obéissant avec une abjecte servilité à toutes les exigences d'Orane, se comportant comme une chienne. Mais le pire était sans aucun doute le plaisir monumental qu'elle avait éprouvé à se faire humilier de la sorte. Son incapacité à contrôler ses pulsions lui avait fait abandonner toute dignité. Et cela n'allait pas s'arrêter là. En partant, Orane lui avait fait par de son intention de lui faire subir un dressage complet. A cette idée, son corps s'alanguissait, et cela lui faisait horreur. Pour se calmer et punir ce corps si lascif, elle s'imposa une longue douche froide. La vue de sa chatte glabre lui rappelait à chaque instant que son corps était désormais la propriété de sa Maîtresse. Après le déjeuner, son père lui proposa de profiter de ce bel après-midi pour faire une promenade à cheval. Laure adorait l'équitation depuis l’âge de huit ans, et son père lui avait offert son propre cheval à dix ans. Ce dernier adorait sa fille unique, et lui passait tous ces caprices. Pourtant, malgré son envie de l'accompagner, Laure refusa, prétextant un devoir de maths en retard. Orane devait l'appeler, et elle redoutait de manquer son coup de fil. Elle passa donc l'après-midi dans sa chambre, appréhendant les futurs exigences de Mademoiselle. Une fois de plus, celle-ci la laissa mijoter longtemps, comme si elle savait l'effet que pouvait avoir cette attente sur les nerfs de son esclave. Lorsque le téléphone sonna enfin, Laure se précipita sur le combiné de sa chambre. - Allô, salut poufiasse ! C'est moi, Orane. - Bonjour, Mademoiselle, répondit respectueusement Laure, malgré l'insulte. - Bien, je vois que tu es toujours dans de bonnes dispositions. Je présume donc que tu es prête à continuer le jeu. - Oui, Mademoiselle, je vous obéirai - Il est vrai que tu n'avais pas l'air de trouver cela trop déplaisant, traînée. Je te préviens, avec tout ce que je sais sur toi maintenant, le prix de mon silence sera très élevé. - Je… Je vous appartiens répondit Laure en blêmissant. Faites de moi ce que vous voulez, mais, par pitié, ne dites rien à personne. - Cela ne dépend que de toi, petite pute. Tu as de quoi écrire ? - Oui, Mademoiselle - Alors note. Orane lui dicta alors ce qu'elle appelait le contrat d'esclave de Laure. Celle-ci recopia un à un les commandements qui régiraient sa vie jusqu'à la fin de l'année scolaire : 1) Moi, Laure Clermont, déclare être l'esclave et le jouet de Mademoiselle Orane de Bréot, en échange de son bienveillant silence concernant mes honteuses manies et mon comportement lubrique. 2) Tout mon temps libre devra être consacrer à satisfaire du mieux que je pourrai les moindres désirs de Mademoiselle Orane de Bréot. 3) Je fais don de mon corps et de mes orifices à Mademoiselle Orane de Bréot, et m'engage à toujours lui en laisser l'accès libre. 4) Je m'engage par ailleurs à toujours être parfaitement épilée, sexe et anus compris, en bonne poupée que je suis. 5) Mademoiselle Orane de Bréot pourra me punir de la façon qu'elle désirera si elle s'estime insatisfaite de mes services. Je devrai alors la remercier de cette punition. 6) Je ne suis autorisée à tutoyer Mademoiselle Orane de Bréot que dans les lieux publics, sinon je dois la vouvoyer et me tenir à genoux devant elle. 7) En signe de respect, je dois en permanence baisser les yeux devant ma Maîtresse et conserver à son égard une attitude humble et respectueuse. 8) Il m'ait rigoureusement interdit me mettre en valeur en public, et je dois au contraire toujours adopter une position basse et servile. 9) Quel que soit l'endroit, lorsque Mademoiselle Orane utilise sa clochette pour me sonner, je dois immédiatement me déshabiller intégralement et me mettre à sa disposition en baisant ses pieds sexy. 10) Il m'ait interdit de faire quoi que ce soit sans en avoir préalablement demander la permission à Mademoiselle Orane. Laure signa alors le document, sur ordre de la jeune fille - Voilà, tu as des remarques à faire sur ce contrat ? - Non, Mademoiselle - Alors je te préviens une fois pour toutes, si tu ne le respectes pas a la lettre, je montre illico les photos en insistant bien sur tous les détails croustillants. Il n'y aura pas d'avertissement. - Je comprends. Je ferais de mon mieux pour vous servir. - Parfait. Alors voici ton premier devoir d'esclave. Tu vas apprendre par cœur ce contrat, et tu me le réciteras avant le début des cours demain. - Bien, Mademoiselle. - Et pour t'aider à bien t'en imprégner, comme je sais que tu n'es qu'une idiote dévergondée, tu me le copieras 100 fois. Avec les voyelles en bleu et les consonnes en vert. Alors, qu'est ce qu'on dit ? Malgré sa docilité, Laure déglutit péniblement avant de répondre, s'efforçant de suivre les consignes du contrat - M…Merci d'aider votre esclave à vous servir de son mieux. - Bien ria Orane, je te laisse, tu as des devoirs à faire, esclave. Rendez-vous demain matin, à huit heures moins le quart devant derrière le lycée. Je vérifierai alors ton travail. Souviens-toi, gare à toi si tu me déçois ! Orane lui raccrocha alors au nez. Laure regardait le contrat, la tête vide. Avec résignation, elle se mit au travail. Cela lui prit des heures et elle put à loisir goûter l'imagination sadique de sa jeune maîtresse. Elle devait tout le temps changer de stylo, et se trompa souvent au début. Elle déchirait alors la feuille de rage, sachant qu'Orane lui ferait payer cher la moindre rature ou trace de typex. Elle n'avait toujours pas fini quand sa mère l'appela pour le dîner, et dû travailler encore une bonne partie de la nuit. Cette corvée stupide avait sur Laure un effet lénifiant, et elle s'imprégnait malgré elle du texte. Elle me conditionne comme une chienne de Pavlov pensait la jolie lycéenne. Une fois son " devoir " achevé, elle s'écroula épuisée sur son lit. Sous ses paupières dansaient des consonnes vertes et des voyelles bleues. Laure n'eut aucun mal à faire sa récitation devant la jeune asiatique le lundi matin. Les mains dans le dos, le regard bas, comme une élève de cours primaire, elle remis ensuite à Orane sa punition. A son grand désarroi après le mal qu'elle s'était donnée, sa Maîtresse jeta à peine un œil à l'épaisse liasse de papier, avant de la remiser dans son cartable. - Tiens lui jeta-t-elle en lui tendant son cartable, tu me le porteras jusqu'à la salle de classe - Bien Mademoiselle - Tu portes une culotte ? s'enquit Orane - Euh, oui Mademoiselle - Alors donnes. Laure se garda bien de lui faire répéter l'ordre. Le coin de rue où Orane lui avait donné rendez-vous était encore désert à cette heure matinale, à son grand soulagement. La jeune fille fit donc remonter les pans de sa jupe longue et passa les mains dessous pour faire glisser son slip de coton blanc le long des ses jambes cuivrées, avant de le tendre à sa Maîtresse. Orane récupéra le sous-vêtement prestement : - Confisqué pour la journée ! Un peu d'air frais calmera peut-être tes ardeurs, qu'en dis tu ? Dit-elle en sortant de sa poche un épais marqueur. Retournes toi maintenant et touche la pointe des tes pieds. A peine Laure eut-elle prit position qu'Orane remonta sa jupe, dévoilant ses fesses rebondies. - Vois-tu esclave, j'ai un souci. Mon marqueur ne tient pas dans ma trousse. Alors, je vais t'utiliser comme trousse de rechange, dit-elle en enfonçant profondément l'imposant feutre dans sa chatte. - Oouh, gémit Laure, alors que le stylo emplit brutalement son vagin. - Redresses toi, voilà quelqu'un dit Orane en lui claquant légèrement le derrière. Laure se releva vivement. Elle aperçut en effet Samia et Claire, deux élèves de sa classe qui venait de passer le coin de la rue, et elle eut à peine le temps de rajuster sa tenue. Orane lui fit comprendre d'un geste dédaigneux qu'elle pouvait disposer, avant de rejoindre ses deux amies. La rue s'emplissait peu à peu de lycéens, et Laure dut serrer les cuisses afin d'empêcher le marqueur de tomber à la vue de tous. Elle était parfaitement consciente du caractère grotesque de sa démarche, alors qu'elle monta péniblement les trois étages du lycée afin de rejoindre sa salle de classe. Le marqueur faillit tomber à plusieurs reprises, et elle dut le renfoncer plus profondément en elle tout en faisant semblant de relacer ses souliers. Elle était persuadée que tout le monde savait et la dévisageait. Elle fut réellement soulagée quand elle put enfin s'asseoir à sa table. Quelques élèves s'étonnèrent de la voir porter le cartable d'Orane, et elle ne sut que bredouiller qu'au fond, elle aimait rendre service. Le cours fut pour Laure un véritable supplice. Elle redoutait à chaque instant que la prof de math ne l'envoie au tableau, car elle sentait le marqueur glisser constamment en elle. Elle en était réduite à sa tortiller lamentablement sur sa chaise pour l'empêcher de tomber. Et plus elle sentait le stylo remuer en elle, plus elle sentait son vagin s'humidifier, ce qui compliquait encore plus sa tâche. A la récréation, Orane la força à la suivre dans les toilettes peu utilisées du troisième étage. Laure se dandina comiquement derrière sa Maîtresse, la suivant jusqu'au cabinet. Orane referma alors la porte derrière elles, et s'assit pour pisser. Laure dut rester à genoux devant elle, les mains derrière la tête. Elle ne put s'empêcher de regarder la fine toison rectangulaire d'Orane, dont la noirceur contrastait avec la peau dorée de la jeune asiatique. Pendant un instant, elle souhaita recevoir l'ordre d'embrasser la vulve si délicate de la belle adolescente, et cette pensée la déstabilisa profondément. Mais celle-ci avait d'autres projets, et Laure dut se contenter d'essuyer la chatte de sa Maîtresse avec son propre mouchoir brodé. Orane ne lui permit pas de se libérer du marqueur, et elle dut le garder en elle jusqu'au dernier cours de la matinée, à l'issu duquel Orane l'entraîna de nouveau dans les toilettes désertes du troisième étage. - Otes ta jupe, et met toi à 4 pattes dit Orane d'un ton sec - Bien Mademoiselle répondit Laure en s'exécutant, heureuse de se défaire de cette contrainte. Orane passa derrière elle, ravie de voir l'extrémité du marqueur pointée hors du minou rasé de son ex-rivale. Elle se recula de quelques pas et ordonna : - Maintenant ma grosse trousse va gentiment venir me remettre mon stylo. Allez, recules, au pied ! Laure resta un instant pétrifiée par la honte. A chaque fois qu'elle pensait toucher le fond, Orane inventait une nouvelle humiliation encore plus infamante que les précédentes. Mais Mademoiselle ne lui laissa guère le temps d'avoir des états d'âme, et la rappela à l'ordre en lui bottant les fesses si violemment que ses épaules et son front heurtèrent le sol. Se souvenant que sa Maîtresse détestait attendre ou se répéter, Laure recula à quatre pattes aussi rapidement qu'elle le put, rougissant de sa posture grotesque. Elle s'arrêta aux pieds de son intransigeante propriétaire, qui la toisait, hautaine : - Allons, tu n'espères quand même pas que je vais me baisser. Tends ton cul correctement ! Allez, du nerf, grosse pouffe ! Laure se redressa tant bien que mal, prenant appui sur les mains et sur la pointe de pieds afin de monter peu à peu sa croupe à la hauteur de la main d'Orane. Lorsque Mademoiselle s'estima satisfaite, elle daigna enfin retirer le marqueur rendu poisseux par les sécrétions de sa chienne. Elle le tint alors à la hauteur de son ventre, et ordonna à Laure de le nettoyer, comme si elle taillait une pipe, les mains dans le dos. L'adolescente s'exécuta toujours à demi nue, terrifiée à l'idée que quelqu'un ne finisse par les surprendre. Elle était décidée à satisfaire Orane le plus rapidement possible, afin de pouvoir se revêtir au plus vite. Bien qu'elle n'ait jamais fait de fellation, il lui était arrivé de voir quelques pornos sur le câble, et elle mima de son mieux, avalant le feutre au maximum, puis le léchant délicatement, la langue bien sortie. Elle était telle que Mademoiselle le désirait : servile et obscène. Une fois le marqueur bien propre, elle se laissa passivement tagué le mot " PUTE " sur les fesses en caractère gras. La sonnerie annonçant le deuxième service de cantine retentit, et Laure fut un instant soulagée. Orane allait sûrement lui rendre sa jupe et sa culotte avant d'aller déjeuner. L'asiatique esquissa d'ailleurs un geste dans ce sens, puis s'interrompit, semblant se souvenir de quelque chose. - Dis-moi, ne devait-tu pas respecter à la lettre un certain contrat d'esclavage ? Or, il me semble que tu devais me remercier pour chaque punition. Et j'ai eu l'amabilité de te botter le cul… Qu’en dis-tu ? s'enquit Orane d'un ton menaçant. Laure ressentit une angoisse folle devant le ton glacial de sa Maîtresse, qui sonnait comme un avertissement. Elle se précipita à ses pieds, les couvrant de baisers. - Je suis désolée, Mademoiselle, ayez l'indulgence de pardonner l'erreur de votre esclave… Cela ne se produira plus, je vous jure. Pitié, pitié. Je vous remercie humblement de m'avoir botter le cul, je le méritais, je suis lente et stupide. - Il me semble que cette faute mérite tout de même une punition, non ? Fit Orane, enchantée de voir la jolie déléguée supplier en se traînant à terre - Oui Mademoiselle. Je vous suis reconnaissante de me punir et de me garder comme esclave. - Alors, tu vas entrer dans ce chiotte, et y rester dans cette tenue jusqu'au cours de quinze heure. Tu es privée de repas, compris ! - Oui, merci Mademoiselle murmura Laure en tremblant Orane la laissa ainsi, privée de sa jupe et son slip, avec cette insulte obscène qui lui barrait les fesses. Elle s'enferma vivement dans un cabinet en entendant du bruit dans le couloir. Elle y resta deux heures, se faisant la plus discrète possible, tremblant de peur à chaque fois que la porte des toilettes s'ouvrait. Une élève essaya même d'entrer dans son cabinet, mais heureusement elle n'insista pas face à la porte verrouillée. Elle n'osait imaginer ce qui se passerait si on la surprenait ainsi. Laure eut donc tout le temps de réfléchir à la meilleure manière de suivre les instructions de Mademoiselle, les nerfs tendus à craquer, redoutant de ce qui pourrait arriver si elle lui déplaisait encore. La punition avait eut l'effet escompté, et lorsque Orane lui rapporta enfin sa jupe, elle demanda d'elle-même, à genoux, la permission de s'habiller. Mademoiselle fut satisfaite, elle avait de nouveau réussi à mater Laure, et elle était à présent sure que celle-ci respecterait à la virgule près son contrat d'esclave. Ses fantasmes de dominatrice allaient avoir de beaux jours devant eux. L'histoire de l'une de mes amie. Le réveil résonna dans sa tête. Il était l'heure de se lever. Laure émergea sans joie d'un sommeil sans rêve. Elle se souvint du jour de la semaine et son cœur se serra. Le vendredi était arrivé. En fin de matinée aurait lieu le prochain cours de gym. Le premier depuis qu'Orane l'eut surprise dans les vestiaires, il y a de cela quinze jours maintenant. L'incroyable soulagement éprouvé lorsqu'elle avait appris que le cours de la semaine dernière était annulé s'était complètement estompé. Mme Jacquet, sa professeur d'EPS était rétablie de sa grippe, et à présent aucune échappatoire n'était possible. Elle allait devoir exhiber face à toute la classe son minou rasé. La veille au soir, Orane lui avait téléphoné. Laure, effondrée, avait tenté sans grande conviction d'infléchir la volonté de sa maîtresse, en lui demandant si elle pouvait se faire désormais porter malade pour les cours d'éducation physique. Mais la réponse l'avait immédiatement remise en place : " Pour qui tu te prends, petite chienne ? Tu crois être en position de négocier ? " Elle n'avait pas oublié les paroles de la perverse asiatique. " Il faut te rendre à l'évidence : c'est demain que ta nouvelle condition éclatera aux yeux de tous, et je compte sur toi pour être à la hauteur. Tu n'as pas intérêt à te dérober. Essaie de cacher le moindre détail, et j'exhibe les photos que tu connais. " Laure ne put s'empêcher de balbutier bêtement : " Mais comment je vais expliquer ça quand les autres filles me le demanderont ? " Orane éclata de rire. " Tu tiens à raconter que c'est moi qui t'ai épilée dans le cadre de ton dressage ? " Laure rougit à cette seule évocation : " Non, avait-elle humblement répondu, je ne préfère pas, si vous m'en laissez le choix. " Orane avait répliqué, avec une pointe d'impatience qui fit frissonner son esclave : " Alors t'as qu'à leur raconter que tu as fait ça pour exciter les mecs. " Les larmes vinrent aux yeux de Laure quand elle s'entendit protester : " Mais… tout le monde sait qu'en ce moment, je n'ai pas de petit copain. " La réponse fut un aboiement exaspéré : " Mais qu'est-ce que tu peux être gourde, c'est pas croyable ! Incapable d'inventer le moindre mensonge ! Et puis qu'est-ce que tu veux que ça me foute, c'est ton problème après tout. Enfin… puisqu'il faut tout te dire… tu expliqueras que t'as perdu au strip-poker contre des copines et que comme gage t'as dû te laisser raser la foufoune. " Laure sursauta à cette évocation : c'était plus humiliant que tout ! Elle voulut demander à Orane de revenir à sa première option, mais les mots se bloquèrent dans sa gorge lorsqu'elle entendit sa maîtresse lui lancer : " Ce week-end, je vais te donner cinquante coups sur tes grosses fesses, ça t'apprendra à faire ta mijaurée et à importuner ta maîtresse pour des détails. " Toute velléité de résistance quitta Laure, qui, se souvenant de son statut et de son contrat, répondit doucement : " Merci de veiller à mon éducation, Mademoiselle. " Elle entendit Orane ricaner, ce qui la soulagea. C'était le signe que sa Maîtresse était satisfaite et ne chercherait pas dans l'immédiat à majorer sa sanction. Puis cette dernière ajouta : " Dès demain matin, tu amèneras toi-même l'instrument qui me permettra de marquer ton cul. Et tu n'as pas intérêt à te foutre de moi : si j'estime que tu n'as pas choisi quelque chose d'assez cinglant, je t'envoie cul nu dans un sex-shop pour acheter un martinet. " Laure répondit, comme mue par un automatisme : " Bien Maîtresse. " Orane poursuivit sur sa lancée : " Je te conseille de t'épiler convenablement pour demain. Que je voie un seul de tes poils de cul dans le vestiaire, et je garantis que tu le regretteras. Au fait, pour l'occasion, tu enfileras l'une de tes grosses culottes de coton, tu sais, les blanches à pois roses, ça coïncidera mieux avec ton minou de petite fille. " Laure subit une nouvelle bouffée de honte. Orane, qui avait intégralement fouillé sa lingerie, était tombée sur deux de ses vieux slips de gamine qui traînaient au fond de son armoire depuis plusieurs années, et qu'elle avait oublié depuis. A cette découverte, l'Asiatique avait longuement plaisanté les goûts vestimentaires de son esclave, avant d'ordonner : " Ne les jette pas, garde-les. Tu les mettras quand je te le demanderai, ça me fera trop marrer de te voir te dandiner comme une gourde avec ces grosses culottes. " A présent, il allait falloir en porter une devant toutes les filles de la classe avant de leur montrer sa chatte glabre ! Laure en fut d'autant plus bouleversée que, vis-à-vis de ses camarades, elle s'efforçait toujours de soigner sa lingerie. Pour clore la communication, Orane avait ajouté : " Pas de soutien-gorge non plus ça complètera ton portrait de petite fille, je veux voir tes grosses loches partir dans tous les sens pendant tout le cours de gym, pour que ça attire l'attention sur toi. Et estime-toi heureuse que je ne te fasse porter aucune inscription sur ton cul, ton sexe ou tes pis de vache. " Laure remercia et raccrocha. Elle espérait au fond d'elle que la nuit lui porterait conseil. Mais à présent le matin était venu sans qu'elle ait trouvé la moindre échappatoire. Elle se disait que le seul moyen de se soustraire à l'emprise d'Orane serait de fuir la ville, mais elle n'avait nul endroit où aller, et ne se sentait pas non plus le tempérament d'une fugueuse. De plus, elle tenait à obtenir son bac, ce qui ne serait pas possible si elle quittait brusquement son lycée. Enfin, elle se voyait mal expliquer la situation à ses parents ou à ses amies. Si Orane apprenait sa délation, ou constatait son départ, elle distribuerait à tout l'établissement ces photos si compromettantes. Laure n'oserait plus jamais revenir dans la région, et elle manquait de perspective, d'imagination, pour projeter de mener sa vie ailleurs. Sa jeunesse dorée ne l'avait jamais préparé à cela. Le pis-aller était d'attendre patiemment l'échéance du bac. Elle avait toutefois puisé suffisamment de courage au fond elle pour tenter une dernière fois de convaincre Orane de la laisser proposer l'explication de son choix quant à son épilation. Elle voulait s'inventer un mystérieux petit ami, et laisser les filles croire qu'elle avait cela pour lui, par amour. C'était à ses yeux la meilleure option. Cela n'empêcherait pas les ragots de circuler, mais la plupart de ces camarades étaient d'incurables romantiques convaincues que l'on pouvait tout faire pour l' " Homme de sa vie "… Oui, c'était indéniablement la solution la moins catastrophique pour son image. Mais il restait à convaincre sa tyrannique maîtresse. Pour cela, elle avait longuement répété dans sa tête le petit speech qu'elle lui récita à la grille du lycée, avant le début des cours : " Bonjour Mademoiselle, je vous ai apporté la… cravache que j'utilise pour l'équitation. La minable traînée que je suis espère que cela vous conviendra pour marquer mon gros cul. Je… Je vous suis très reconnaissante po… pour ces cinquante coups… qui m'aideront à être une chienne plus dévouée pour sa Maîtresse. " Malgré sa détermination, Laure ne put empêcher sa voix de trembler. Elle savait que la morsure de la cravache était particulièrement douloureuse. Elle craignait de ne pas pouvoir en supporter autant. Orane sentit ce trouble chez la jeune fille. Elle comprit rapidement que si cette petite garce cherchait si vilement à lui plaire, c'est qu'elle avait quelque chose à lui demander. En souriant, elle demanda à Laure d'ouvrir son cartable et de lui monter l'instrument : " Bien, cela va te faire très mal, tu t'en doutes… Et qu'oses tu espérer en retour, pauvre petite pute ? " Laure fut déstabilisée en un clin d'œil d'être aussi transparente devant la belle Asiatique. Elle ne put que bredouiller piteusement sa requête, les larmes aux yeux, en suppliant : - Je vous en supplie, Mademoiselle, s'il vous plaît, je serais sage, je vous le jure, je serais une gentille chienne… Laure entendit ces mots comme quelqu'un d'autre les prononçait. Les yeux baissés, elle entrevit le sourire moqueur d'Orane. - Soit, lui annonça-t-elle à sa grande surprise, je suis de bonne humeur ce matin. Tu pourras t'expliquer à ta guise. - Oh, merci ! Merci, Mademoiselle - Mais de rien, Laure, tu auras l'occasion de me remercier de ma bonté après le cours d'EPS. En nettoyant mes baskets. Avec ta langue, bien sur, paillasson ! - Je… Oui, Mademoiselle, ce seras fait… Avec plaisir. Merci. Laure garda la tête basse tandis qu'Orane s'en alla rejoindre le cours de Philo. Elle était loin d'être soulagée, la facilité avec laquelle Orane avait cédé l'inquiétait. Elle se rendit en classe lentement, se demandant quel coup tordu lui réservait sa perfide " camarade de classe ". La jolie lycéenne eu beau avoir toute la journée pour s'y préparer, le cours de gym de dernière heure fut encore pire ce qu'elle attendait. Le temps s'était radoucie, et toutes les filles de sa classe s'étaient mises en tee-shirt. Orane l'avait encouragé d'un regard noir à faire de même, et on pouvait deviner l'auréole sombre des tétons à travers son fin maillot blanc. Comble de malheur, Mme Jacquet avait prévu pour exercice une séance de stepping, et chaque mouvement faisait bouger outrageusement sa lourde poitrine libre. Tous le monde se rendit ainsi compte qu'elle ne portait pas de soutien-gorge, et elle surprit quelques garçons échanger des commentaires en ricanant à voix basse. La lycéenne ressentait une douleur lancinante au niveau de ses épaules et de seins malmenés par ce traitement. Orane s'était placée à ses côtes, et l'encourageait discrètement à ne pas mollir : " Allez, gosse vache, du nerf ! Suis bien le rythme, n'ai pas peur d'agiter tes mamelles. " A la pause, la jeune fille était écarlate, autant à cause de l'effort que de la honte qui la submergeait. C'était la première qu'elle connaissait une telle humiliation en public. Elle avait le sentiment d'avoir été exposé comme une bête de foire. Lorsque sa professeur d'EPS la prit un instant à l'écart durant la pause pour gentiment lui conseiller d'adopter pour la gym des sous-vêtements de maintien adaptés, la ravissante déléguée souhaita disparaître dans un trou de souris. Elle ne put qu'opiner, la tête rentrée dans les épaules. Mme Jacquet lui fit un petit sourire, étonnée de la voir ainsi et la changea d'activité sportive pour le reste de l'heure. Pour ses professeurs, elle gardait l'image d'une fille de bonne famille hautaine et un peu prétentieuse qui ne pouvait s'empêcher de critiquer ses enseignants à chaque conseil de classe. Laure fut sincèrement reconnaissante de la compréhension dont semblait malgré tout faire preuve sa prof, mais cela ne lui laissait qu'un répit avant le pire. Et lorsque la cloche sonna, Laure se dirigea vers les douches avec le sentiment d'aller à son propre enterrement. Les vestiaires étaient une pièce carrée dont trois des murs étaient occupées par des bancs et des portemanteaux. Laure se dirigea vers une place libre, à l'opposée de la salle des douches. Le front empourpré, elle se mit face au mur et commença à retirer son tee-shirt. L'adolescente pouvait sentir les regards braqués dans son dos. Au milieu des brouhahas des conservations, elle perçut distinctement un bref raclement de gorge. Orane la rappelait à l'ordre, et lentement son esclave se tourna face à ses camarades de classe. L'Asiatique jubilait de voir sa rivale de toujours aussi désemparée, froissant nerveusement son maillot en tentant d'éviter les regards des autres filles. C'était encore mieux que dans ses rêves les plus fous. Bien sur toutes les filles mourrait d'envie de savoir pourquoi leur déléguée n'avait même plus un soutien gorge à se mettre pour le sport, mais personne ne faisait encore la moindre remarque. Laure était encore connue pour avoir la répartie facile, et il ne valait mieux pas se la mettre à dos si l'on espérait encore être invité à une fête lycéenne. Mais même les membres les plus fervents de sa petite cours d'autrefois, comme Nathalie ou Ludivine semblait se poser des questions. Toutefois, lorsque Laure enleva son short et qu'elles aperçurent cette fille toujours si élégante boudinée dans une culotte blanche à pois rose visiblement destiné à une enfant, ce fut trop. Ce fut d'abord quelques timides ricanements, mais bientôt toutes les occupantes du vestiaire se mirent à rire franchement. Claire, une jeune rouquine constellée de taches de rousseur lui demanda si sa garde-robe avait flambé. Laure ne sut que répondre, elle semblait avoir perdu tous ses moyens. A présent, les jeunes filles s'étaient toute dévêtue et se dirigeaient vers les douches. Orane lui assena le coup de grâce : " Et tu comptes le garder pour te laver, ça fait aussi maillot de bain ? " Les lycéennes se remirent à rire, et tous les regards se braquèrent vers elle. En retenant ses larmes, Laure se tortilla pour retirer sa ridicule petite culotte. Comme Orane lui avait ordonné, elle ne fit pas un geste pour se dissimuler. Et l'hilarité générale repris de plus belle. - A mon avis, il n'y a pas que sa garde robe qui a flambé se moqua Samia, - Tu m'étonnes repris une autre fille, elle en a même perdu tous ses poils dans l'incendie ! - Je comprends mieux la culotte de petite fille, maintenant reprit Claire. - Non, sérieusement, pourquoi tu as fais ça ? questionna Nathalie, un peu gênée de voir cette fille qu'elle admirait ouvertement en si mauvaise posture. Laure prit sur elle pour sortir son boniment d'une voix claire et ferme. Orane la laissait dire en silence, et Laure, mise en confiance, broda à l'envie sur un nouveau petit ami tellement beau, attachant et sensible qu'elle n'avait pu refuser ce " petit plaisir " au " nouvel amour de sa vie ". Au fur et à mesure de ses enjolivements, la jolie déléguée reprit confiance et retrouva ses attitudes d'autrefois. A force d'arguties et de jolies tournures, elle se sentait presque capable de retourner la situation, et en effet, ses camarades avaient fini de plaisanter à son sujet, et Laure retrouvait même dans certains regards une lueur de compréhension, et même d'envie pour cette " si jolie romance ". " Mais au fait, demanda soudain Samia, qui est cette perle qui mérite tant de sacrifice ? " Aïe, Laure n'avait pas prévu ça. Elle chercha à toute vitesse un nom quelconque, mais Orane lui coupa l'herbe sous le pied. " Moi je sais, dis la jeune asiatique jusque là silencieuse, c'est Richard Thomas ! Je les ai surpris ensemble il y a 15 jours, ici même. " Laure comprit en une fraction qu'Orane l'avait joliment piégé. Richard est un gros garçon boutonneux, si laid et si bête qu'il était la honte du lycée (et probablement aussi de sa famille). Il était devenu une telle tête de turc pour les autres élèves que ses parents avaient été obligés de le changer d'établissement en cours d'année. Les réactions ne firent évidemment pas attendre : - Quoi ! Ce gros porc abject ! tu te moques de nous, Orane, fit claire, visiblement sidéré - Oui, allez Laure, dis-nous la vérité reprirent Ludivine et Nathalie en chœur. - N'est ce pas la vérité, Laure ? Vas tu me traiter de menteuse ? la défia l'Asiatique, prenant à parti toutes les autres filles. Laure était tétanisée, incapable de dire un mot. Elle comprit en un éclair à quel point Orane l'avait berné. Déjà, elle voyait sa rivale faire un pas vers son sac, d'où dépassaient les coins d'une large enveloppe kraft. Les photos. Si elle démentait, Orane n'hésiterait pas un instant à les montrer. " Je… Non… Heu, je veux dire… Si, c'est… C'est vrai lâcha-t-elle tristement. " C'était un cauchemar pour la jolie étudiante. Il était de notoriété publique que même si Richard Thomas était le dernier homme sur Terre, toutes les filles du Lycée préférerait devenir gay et laisser l'espèce humaine s'éteindre plutôt que de coucher avec lui. Elle-même avait beaucoup fait voir à ce pauvre garçon. Et maintenant, toutes les filles de sa classe pensaient qu'elle trouvait cette larve obèse irrésistible et sexy, et était même aller jusqu'à se raser la chatte pour mieux l'exciter. D'après ses propres paroles. Elle comprenait mieux maintenant pourquoi Orane l'avait laissé sortir son beau baratin romantique. Comme une chasseuse cruelle, elle lui avait laissé entrevoir une porte de sortie avant de l'exécuter froidement. Du grand art. - J'en reviens pas ! s'esclaffa Claire, c'est lui ton " prince au regard renversant ", un type qui porte des lunettes double foyers. - Incroyable, fit Nathalie avec une moue dégoûtée, tu es amoureuse du gros porc ! - Après tout ce que tu lui as fait endurer, c'est dingue ! reprit Ludivine - Comme quoi, l'amour, la haine, c'est du pareil au même, ria une autre fille - Qui se ressemble finit par s'assembler ! Ou l'inverse, je ne sais plus. Les filles rirent tellement fort que Mme Jacquet passa la tête par la porte afin de leur demander de se calmer. Elle ne remarqua pas Laure, mais les rires reprirent du coup de plus belle. La professeur secoua la tête, résignée, avant de les laisser seules à nouveau. Maintenant, presque toutes les filles l'entouraient, se moquait d'elle. Nue, rasée, l'adolescente ne se sentait que plus vulnérable à leurs plaisanteries. Sa situation empirait à telle vitesse qu'elle se demanda si elle n'aurait pas mieux fait de laisser Orane montrer les photos, et de s'enfuir d'ici à toutes jambes. Mais encore une fois, elle s'était laissé porter par les événements, et se maudissait de son manque de réactivité. Et lorsque Samia repris la parole, elle sentit que les choses allaient encore empirer. La beurette avait un caractère farouchement indépendant, et avais toujours vu d'un mauvais œil le côté " reine du bal " de la déléguée. - Moi je me souviens d'une fois où Laure nous avait proposé à Claire et à moi de rigoler un peu avec le gros porc… - Oui reprit Claire, je me rappelle. On l'avait coincé en salle de sciences, et Laure l'avait faussement accusé de lui avoir mis une main aux fesses et menacer de le dénoncer aux autres garçons. - Qui l'aurait sûrement massacré, ce pauvre gros. - Eh ! bien, il faut croire que maintenant elle aime ça, se faire peloter par Richard se moqua l'Asiatique - Oui, faut croire ! reprirent les autres. En attendant, le gros avait paniqué, et était prêt à tout pour éviter la correction. Alors Laure lui a fait faire le tour de la pièce, à quatre pattes, en grognant comme un porc. Couik, Couik ! C'était tordant. - Incroyable, alors comme ça Laure, tu lui as fait du chantage, toi, ironisa Orane en la fixant dans les yeux. Laure ne put que baisser encore plus la tête. - Ouais, acquiescèrent les lycéennes, c'est vraiment ignoble de faire ça à quelqu'un. Même si c'est Richard Thomas - En tout cas, maintenant, le gros porc a trouvé une amoureuse reprit Samia. Au fait, Laure, la fiancée du cochon, c'est pas la truie ? Ce fut le déluge, toutes les filles riaient, l'appelait " Laure, la truie " en imitant le cri de l'animal. Samia et Claire se firent un clin d'œil, et l'empoignèrent avant le pousser dans les douches : " Allez, la truie ! C'est l'heure du bain. " Ainsi, bousculée, Laure tomba au sol. Deux de ses camarades la maintinrent à genoux en lui appuyant sur les épaules. " A ton tour de faire la cochonne, reprit méchamment Samia. Comme ton petit ami avant, ça me paraît normal, non ? Qu'est ce que vous en penser, vous autres ? " Toutes les filles acquièrent en riant. Laure commença à prendre peur. Les dernières révélations de Samia avaient définitivement retourné l'ensemble des filles contre elles. Déjà fusaient les insultes et les exhortations à obéir. La pauvre Laure craignait sincèrement qu'elles ne finissent par en venir aux mains. Elle n'arrivait plus à penser tant cela lui paraissait irréel. Comment toutes ses soi-disant copines pouvait-elles lui faire ça ? Comment avait-elle pu être déchu si vite ? Paniquée, elle ne voyait aucune issu, a part se plier à leurs exigences avant qu'elles ne lui fassent vraiment mal. Alors elle s'appuya sur les mains et commença à avancer autour des douches. Un coup lui cingla les fesses : une des filles avait roulé sa serviette de bain pour la fouetter. " En couinant, la truie ! " De surprise, Laure lança un petit cri perçant qui provoqua un enthousiasme général. Les filles formèrent une haie autour de son parcours, et chacune lui gifla les fesses d'un coup de serviette à son passage. Laure se pressait à 4 pattes pour éviter les coups, et au fur et à mesure que ses fesses lui cuisaient, elle couinait de plus en plus fort. Ses " Hoink ! hoink ! " stridents se perdaient au milieu des cris et des rires. Ses camarades de classe finirent par l’abandonner en larmes dans un coin des douches. Nathalie fut une des dernières à la quitter, la toisant de façon méprisante : " Vraiment, je ne comprends pas comment on a pu traîner avec toi. Tu peux oublier mon numéro de téléphone, tu es vraiment trop nulle, en fait. " Laure resta recroquevillée sur elle-même pendant que les adolescentes se lavèrent et s'habillèrent, quittant peu à peu le gymnase. Elle continua de pleurer ainsi durant un long moment. Elle entendit soudain un bruit qui la fit se redresser. Orane la contemplait en silence, appuyer désinvoltement contre l'encadrure de la porte. - Elles sont toutes parties, si c'est ce que tu attendais dit finalement l'Asiatique. - Qu'est ce que tu veux encore ! lui cria Laure, laissant enfin exploser sa colère. Tu peux être contente, dès demain, tous le lycée sera au courant de ce qui vient de se passer. Ma vie va être un enfer ! Tu peux montrer les photos, si tu veux, je ne t'obéirais plus ! De toute façon, je ne vois comment cela pourrait pire, après ça ! Pendant que Laure se libérait de sa colère et sa frustration, Orane s'approcha d'elle en la fixant des yeux, sans un mot. Lorsqu'elle fut tout près de Laure, celle-ci fit un geste pour le repousser. L'Asiatique s'empara de ses poignets et plaqua vivement sa bouche contre la sienne. En sentant la langue chaude et fine d'Orane envahir sa bouche, Laure se débattit plus férocement. Mais malgré son corps gracile, l'Asiatique était vive et énergique. Sans cesser de l'embrasser, elle réussit à immobiliser les bras de Laure dans son dos. Laure lui donna alors quelque coup de pieds, et réussit à la faire trébucher. Orane s'agrippa alors plus fortement à elle, et l'entraîna dans sa chute. Plaquée au sol, Laure ne put de nouveau empêcher Orane de l'embrassée. Imperceptiblement, elle cessa peu à peu de se rebiffer. Malgré elle, son corps réagissait à se baiser passionné. Orane relâcha son étreinte pour caresser le bas de son dos. Elle continua de picorer de baiser son visage, et lui caressa tendrement les seins. La jolie déléguée ne luttait plus, au contraire, son corps allait au devant des gestes doux de l'Asiatique. Elle sentit son ventre s'allumer d'un coup, se libérant brutalement l'excitation accumulée dans la journée. Orane lui murmura quelques mots à l'oreille : " Tu n'as pas encore compris, n'est ce pas ? Ce n'est pas à cause des photos que tu m'obéis. Ce n'était qu'un prétexte pour libérer ce que tu cachais au fond de toi. Ce que tu avais si peur de t'avouer à toi-même que tu t'es protéger derrière un vernis de suffisance de prétention. Ce besoin de te sentir dominée, asservie, esclave… " Laure essaya de protester, mais elle put lâcher qu'un long soupir de plaisir. " J'aime te sentir comme ça, ajouta Orane, complètement fragile, complètement abandonnée " Jamais Orane ne lui avait parlé d'une voix si chaude et douce. Encore sous le choc de ce qui venait de se passer, elle avait désespérément besoin de tendresse et d'affection. Et que ce doux réconfort vienne précisément de la personne responsable de ces tourments la troublait encore davantage. Oui, sa rivale avait raison. Malgré tout ce qu'elle pouvait dire, les épreuves de cette journée l'avaient terriblement excité. La tête d'Orane se glissa lentement entre ses cuisses, sans cesser de l'embrasser. Le simple fait de sentir la pointe de la langue de l'Asiatique se poser sur son clitoris déclencha en elle un orgasme violent. Orane accentua encore sa caresse, et Laure s'allongea sur le dos, la tête renversée, et s'abandonna sans plus aucune honte au plaisir qui continuait de l'envahir. Orane lui fit véritablement l'amour, sans aucune violence, rien exiger d'elle. Laure fut traversée par des vagues de jouissance fantastiques. Quand elle fut enfin repue, elle se laissa délicatement laver en silence par son amante sous la douche. Laure était complètement déstabilisée par ses sentiments envers l'Asiatique. Elle avait éprouvé tellement de haine envers elle il y a seulement un instant, et à présent… Elle se sentait reconnaissante, elle souhaitait lui plaire pour la remercier du bonheur qu'elle venait de lui offrir. Et le sourire mutin d'Orane qu'affichait en la dévorant des yeux n'arrangeait rien. " Tu commences à admettre l'évidence, n'est ce pas ? " lui demanda-t-elle. Sans lui laisser le temps de répondre, Orane enchaîna : " Je vais donc te rendre les photos, quand dis tu ? Puisque tu m'as dit ne plus vouloir me servir, elles ne me servent à rien. Reprends les, et tout sera fini entre nous. " Laure en resta sans réaction. Elle n'avait qu'à les reprendre et cela serait terminé. Plus d'ordre, plus d'humiliations. C'était une chance inespérée. Pourtant la déléguée ne fit pas un geste pour s'en saisir. Car cela signifiait aussi ne plus avoir de relations avec Orane, ne plus connaître les plaisirs de la soumission. " J'ai envie de t'aimer, ajouta Orane en lui caressant le visage, de te donner du plaisir, que tu m'en donnes, mais aussi que tu me montres jusqu'où tu peux aller, que tu me montres que tu peux aller plus loin encore pour moi. J'ai envie de te faire mal quand je devine ton envie d'avoir mal. " Cette déclaration acheva d'enflamma la lycéenne. Elle connaissait Orane depuis l'enfance, et pourtant elle ne l'avait jamais regardé ainsi. Elle était remplie de vénération pour cette fille si belle, autoritaire, intransigeante et douce à la fois. Toujours nue, elle se mit à genoux, les mains dans le dos. - Vous avez raison, Mademoiselle. J'aime être une esclave, votre esclave… Je… Je crois que je vous aime. Je suis fière de vous appartenir. - C'est bien, il est bon qu'une esclave aime sa Maîtresse lui souri Orane. Je suis satisfaite de ton comportement, tout à l'heure. Tu as déjà bien été punie, je vais donc lever ta sanction. Tu ne seras pas cravaché. Mais, par contre, j'espère que tu n'as pas oublié ta promesse de remerciement ? - Non, Mademoiselle. Laure parue hésiter un instant puis ajouta : Aurais la permission de vous lécher après, s'il vous plaît Maîtresse ? - On verra rit Orane, si tu as bien travaillé, peut être… Et c'est avec un air gourmand que Laure rampa lécher les baskets de Mademoiselle pour les nettoyer. Lorsque les deux adolescentes quittèrent enfin le gymnase main dans la main, la nuit était tomber depuis longtemps. L'histoire de l'une de mes amie. Au bout de quelques semaines de pareils traitements, Laure faisait peine à voir. Elle avait perdu l'assurance hautaine qui faisait sa réputation. Constamment sur la défensive, elle bafouillait chaque fois qu'on lui adressait la parole, et paraissait terriblement mal à l'aise avec ceux qu'elle prenait de haut dans le passé. Après ce qui c'était passer dans les vestiaires du gymnase, Laure devint rapidement la brebis galeuse de sa classe, et même du lycée entier. Les adolescents sont prompts à mépriser ce qu'ils portaient aux nues auparavant, et sa passivité face aux brimades et l'attitude servile que lui imposait Orane achevèrent de détruire sa glorieuse réputation. Il était devenu si facile pour sa Maîtresse de la ridiculisée en public, que presque tous les autres élèves s'y mirent également. A l'inverse, la jeune Asiatique rayonnait littéralement, et était de toutes les fêtes. En un mois, elle était devenue le nouveau centre d'attention du Lycée. Mais Laure acceptait cette nouvelle situation. Elle jouissait même terriblement de son esclavage clandestin. Tout concourait à l'exciter : les ordres humiliants, l'index qu'Orane, exprès, agitait devant elle sous le regard des autres élèves, au risque de la trahir. Et bien sur les séances en dehors du Lycée. Ce qu'Orane appelait son " dressage "… Ainsi, un week-end, les parents de Laure s'absentèrent, et Orane lui fit part de son attention de passer la nuit chez elle. Laure tressaillit à l'idée de servir Mademoiselle sous son propre toit, mais elle ne put que céder une fois plus à ses exigences. Les parents de Laure partirent le samedi matin chez ses grands-parents, en Moselle, et une heure plus tard, Orane sonna au portail. Laure se précipita dehors ouvrir le portail afin de ne pas faire attendre son impatiente Maîtresse. Celle-ci lui avait imposé depuis peu quelques nouveaux accessoires à la tenue de soubrette qu'elle devait porter pour la servir. Elle portait une paire de bottines basses en cuir, dont les talons mesuraient au moins 10 cm de haut, qui l'obligeait à trottiner maladroitement sur l'allée de gravier. Elle avait également des bas à larges résilles noires retenus par un porte-jarretelles rose. Et bien entendu, elle avait toujours son minuscule tablier et sa coiffe de bonniche. En dehors de ça, elle était intégralement nue. Heureusement, la cour était entourée par une haie de troènes, et le haut portail la protégeait des regards. Laure ouvrit la porte en faisant une large révérence : - Votre esclave est honorée de pouvoir vous servir, Mademoiselle Orane l'avait dressé à ses signes de respect envers elle, et la dernière fois que Laure l'avait oublié, elle avait dû passer une heure au coin, agenouillée sur une règle et portant une lourde encyclopédie sur sa tête. Mademoiselle passa devant elle, sans un mot, se réjouissant de la voir trembler de froid par cette fraîche matinée de novembre. Laure la guida jusqu'au salon et attendit que la belle et sexy asiatique s'installe dans le canapé avant de se prosterner en lui baisant les pieds. - Montres moi tes devoirs, fit froidement Orane en la repoussant du bout de sa chaussure. - Bien Mademoiselle Laure s'exécuta en branchant le caméscope de son père sur le téléviseur, en lança la vidéo qu'Orane lui avait imposée de tourner. Les " devoirs " particuliers qu'Orane lui donnait comme à une écolière vicieuse étaient devenus un rituel, qui donnait lieux à de terribles punitions si Orane ne jugeait pas son travail satisfaisant. Et ce devoir fut particulièrement éprouvant : Laure devait faire devant la caméra un strip-tease " digne de la salope qu'elle était " avait précisé Mademoiselle, puis se branler avec un gode vibrant. Dans tous les trous. Jusqu'à l'orgasme. Bien sur, il lui revenait d'aller acheter l'objet, avec son propre argent de poche. Laure repensa à l'angoisse qu'elle avait éprouvée devant le sex-shop de la petite bourgade. Elle avait patienté une heure au coin de la rue, attendant que la rue se vide, avant de pénétrer dans la boutique d'un pas rapide, terrorisée à l'idée de rencontrer quelqu'un de sa connaissance. Mais le pire fut quand le vendeur lui avait demandé ses papiers, afin de vérifier qu'elle était bien majeure. L'homme ne fit aucun commentaire, mais Laure ne s'était jamais sentie aussi honteuse de sa vie. Les images commencèrent à défiler sur l'écran, et Orane claqua des doigts en pointant l'index vers le sol à ses pieds. Laure se mit aussitôt à quatre pattes et rampa vivement vers Mademoiselle. - Tournes toi, le cul relevé, les fesses écartées à deux mains, le front au sol. Alors que Laure obéissait vilement, Orane étendit ses jambes fines et posa ses semelles sur sa croupe. - Tu me serviras de repose-pied pendant que je vérifie ton travail lui annonça-t-elle chaleureusement. Comme Laure ne répondait pas, elle frotta sèchement sa semelle contre la raie largement ouverte que lui présentait son esclave. - Ouch, merci de cet honneur, Mademoiselle geignit-elle - Mais de rien, pétasse ! fit Orane. J'espère que tu t'es appliquée, car sinon tu te souviendras de ce week-end. - J'ai fait de mon mieux répondit humblement Laure. J'espère que vous serez fière de votre bonniche, Mademoiselle. - Nous verrons ça dit Orane en montant le son de la télé. En attendant, silence et ne bouge plus, catin ! Le salon s'emplit des basses puissantes du morceau de techno que Laure avait choisi pour son strip-tease. Elle savait que Mademoiselle aimait ce disque. Le nez collé au planchez, Laure ne voyait pas les images, mais elle imaginait parfaitement le plaisir qu'elles procuraient à sa jeune Maîtresse. Elle repensa à ses déhanchements lascifs et osés alors qu'elle dansait devant l'objectif du caméscope posé sur la commode qui faisait face à son lit. Elle avait ensuite pris un air gourmand en déboutonnant son chemisier, massant ses seins lourds et fermes, les présentant à pleines mains avant de les lécher du bout de la langue. Une fois nue, elle pris toute une série de poses obscènes, révélant chaque recoin de son anatomie à l'œil froid de la caméra. Orane s'amusait énormément du spectacle, et Laure entendait parfois fusé son rire cristallin. Oui, pensait-elle, il devait être amusant de voir celle qui était autrefois sa rivale s'humilier et se ridiculiser de la sorte. Question de point de vue. De son point de vue de repose-pied, elle souhaitait juste que ces rires étaient signes que son devoir plaisait à sa Mademoiselle, et qu'elle ne serait pas punie. En entendant sa voix sortant du téléviseur à plein volume, Laure sut que la deuxième partie de la cassette commençait. - Bonjour, je suis Laure Clermont, élève de terminale S au lycée Victor Hugo, et délégué de ma classe, avait-elle récité à genoux, en déballant le gode. Mais je suis également une chienne en chaleur, propriété exclusive de Mademoiselle Orane de Bréot. Et comme toutes les chiennes en rut, j'adore sucer des bites. Laure fut profondément humilier de s'entendre prononcer de telles paroles. Elle se revit faisant coulisser le gode entre ses seins, avant de l'avaler goulûment. Les bruits de succions qui lui parvenait étaient odieux. Orane restait muette, mais Laure sentait à la façon dont elle bougeait les jambes sur son dos que la scène commençait à l'exciter. Mademoiselle prenait effectivement beaucoup de plaisir à voir son esclave s'empaler frénétiquement sur le sexe de plastique. Le vrombissement de l'appareil et les sons humides que sortaient de sa chatte furent bientôt couverts par les râles de l'adolescente. Laure jouissait sur l'écran, à quatre pattes, se masturbant profondément dos à la caméra. Puis elle se redressa, sortit un instant du champ du caméscope et revint avec un pot de margarine. - Comme toutes les putes, avait alors expliqué Laure, j'aime beaucoup être enculée. Je vais vous montrer comment je fais. Elle s'était alors de nouveau tourner dos à l'objectif, toujours à quatre pattes, et avait largement écarté les jambes. - Tout d'abord, il est important de bien se beurrer la raie, avait-elle ajouté avant de cueillir une noix de margarine de l'index et de s'oindre l'anus. Mademoiselle rit de nouveau en voyant le doigt luisant aller et venir dans la rosette de Laure. C'était elle, évidemment, qui avait dicté à Laure les phrases mortifiantes qu'elle prononçait à l'écran. Les gémissements reprirent bientôt, et Laure repensa à la douleur qui l'avait envahie alors qu'elle poussait bien à fond le gode entre ses reins. Elle se sentait déchirée en deux, mais elle avait tenu bon et appuyé fortement sur le leurre, l'enfonçant jusqu'à la garde. Elle avait ensuite mit le vibreur en marche, et commencé un lent va-et-vient. La douleur s'était alors transformée en douce chaleur, et le plaisir l'avait de nouveau envahi. Chaque fois plus intense depuis qu'Orane l'avait initié au plaisir anal. Laure se sentit de nouveau mortifiée alors qu'elle entendait ses râles et soupirs se transformer en véritables cris de jouissance. Mademoiselle poussa encore le volume, absolument ravie de contempler la déchéance de sa chienne. La jolie Laure était devenue une véritable bête à plaisir, un parfait objet sexuel dont on use à sa guise. Tantôt salope à pornos, tantôt repose-pied ou paillasson. Et toujours aussi prompte à l'orgasme. Elle suivit la vidéo jusqu'à ce que Laure fut secouée des spasmes du plaisir, et nota avec joie que sa rondelle resta largement ouverte après qu'elle eut retiré le gode. Mademoiselle coupa alors la télé, et retira ses pieds des fesses de Laure. Celle-ci se tourna et demanda d'une voix faible si sa propriétaire était contente de son travail. - Pas vraiment, menti Orane, tu as oublié de bien montrer ton visage lorsque tu jouissais. Et le strip-tease aurait pu être bien plus chaud. Et le gode plus gros. - Je… je suis désolée fit Laure. Je serais très honoré de subir une punition méritée pour vous avoir déplu… Laure se sentait anéantis. Durant la terrible humiliation qu'elle venait de subir, elle avait sincèrement souhaité plaire à sa maîtresse. Orane dut sentir à quel point elle était éprouvée, et lui esquissa un petit sourire. - Je me sens l'âme généreuse aujourd'hui, et je vais donc suspendre provisoirement ton châtiment. - Oh! merci, Mademoiselle dit Laure en embrassant ses souliers - Ne te réjouis pas trop vite ! Et files enfiler ton imper noir, on va sortir faire un peu de shopping. - Bien Mademoiselle, a vos ordres. Laure n'osa pas discuter les instructions de sa jeune Maîtresse, mais elle était anxieuse. La simple idée de devoir sortir nue sous son léger imper noir, en pleine rue, la rendait très mal à l'aise. A part devant Orane, Laure restait une jeune fille très pudique. Mais après tout songea-t-elle, elle devait déjà s'estimer heureuse qu'Orane lui ait permis de quitter son tablier et son bonnet de soubrette. Et s'il lui prenait la fantaisie de l'exhiber et de l'humilier en pleine rue, après tout, c'était son droit. Elle avait d'elle-même fait don de son corps à Mademoiselle. Laure se hâta de la rejoindre en entendant résonner la clochette d'argent, symbole de sa condition de domestique. Parvenue au bas de l'escalier, elle fit de nouveau une gracieuse révérence devant Mademoiselle. Devant son accoutrement, Orane rit de nouveau, et tourna son esclave vers la glace de l'entrée. Laure rougit de la tête au pied en découvrant son reflet. L'imperméable avait un col très ouvert, et il lui suffisait de se pencher légèrement pour exhiber son opulente poitrine. De plus, le vêtement lui arrivait à mi-cuisse, et ne cacherais rien de son minou glabre si elle s'asseyait. Ses bottines à haut talon et ses bas résille complétait le tableau. La jolie asiatique s'esclaffa de nouveau : - C'est parfait, tu as tout d'une pute ! Dommage qu'on n'ait pas le temps d'arranger ton maquillage, mais le bus va bientôt arriver. Allez, ouste ! Laure, tête basse, suivit donc sa terrible dominatrice, en frissonnant dans l'air glacé. L'histoire de l'une de ms amie. Le trajet en bus jusqu'à la galerie marchande fut pour Laure épreuve terrible. Assise près du couloir, à côté de sa Maîtresse, elle ne cessait de tirer les pans de son imperméable vers le bas, tentant désespérément de cacher son intimité. Orane la réprimanda d'une tape sèche sur la main, et devant le regard surpris du passager voisin, elle expliqua simplement, avec son plus joli sourire : - Je la dresse ! Le passager, un cinquantenaire rougissant, détourna la tête en maugréant quelque chose sur le comportement des jeunes de nos jours. Laure souhaita disparaître entre les sièges. La tête enfoncée dans les épaules, rougissante de honte, elle dut ensuite suivre Mademoiselle sur le parking très fréquenté de la galerie. Laure était une très belle fille, et elle avait l'habitude du regard des hommes sur son corps, mais jamais il n'y avait surpris cette expression narquoise et ironique, la ravalant au rang d'objet. Elle entendit même quelques commentaires lubriques sur son passage, et se hâta en trottinant derrière la silhouette ondulante de l'Asiatique. La lycéenne marqua toutefois un temps d'arrêt en découvrant où Orane l'emmenait : l'animalerie. Le magasin était désert à l'exception d'une dame âgée tenant un caniche nain dans ses bras. Mademoiselle flâna dans les rayons, avant de s'arrêter devant les colliers et les laisses. Elle choisit un large collier de cuir rouge clouté. Le cœur de Laure se serra. Elle comprit alors que sa Maîtresse voulait pousser sa soumission encore plus en avant. Après l'avoir réduite à l'état de servante, puis d'esclave sexuelle, après l'avoir privé de sa popularité et en avoir fait la risée de la classe, Mademoiselle voulait la rabaisser au rang d'animal domestique. Sous le regard stupéfait et choqué de la cliente au petit chien, Orane fit glisser son manteau sur ses épaules pour dégager son cou. La jeune fille serra le collier le plus qu'elle le pouvait sans l'étouffer. Laure éprouva pourtant une étrange fierté devant le regard de haine que leur lança la dame au caniche en quittant le magasin. Orane, satisfaite, lui ôta le collier et prit une laisse assortie. Elle fit ensuite le tour du magasin, et revint avec une écuelle et un jouet en plastique en forme d'os, puis se présenta au comptoir du magasin. - Bonjour, j'ai acquis récemment une chienne qui aurait bien besoin d'être dressée. Que me conseillez-vous ? La commerçante, une femme d'allure hautaine, lui présenta plusieurs modèle de martinet à longues lanières fines, permettant, assura-telle, de bien se faire respecter de l'animal sans toutefois le blesser sérieusement. L'Asiatique, d'un ton sec, demanda à Laure de choisir. La lycéenne opta d'une voix tremblante pour un modèle à la poignée de cuir noir. La vendeuse proposa à l'Asiatique une médaille pour son collier : - Vous pouvez la personnaliser avec le nom de votre chienne, et ajouter vos coordonnées si jamais l'animal se perd ou s'enfuit. Cela ne prend que quelques minutes. - C'est une excellente idée ! Je vous prends un insigne gravé : Propriété d'Orane de Bréot, avec mon numéro de portable en dessous. - Bien, je vous fais ça tout de suite. Et quel est le nom de votre chienne ? - L.A.U.R.E épela l'Asiatique. Laure faillit défaillir devant le regard soupçonneux de la vendeuse, et fut soulagée de sortir du magasin. Le froid lui fit du bien. Lors du retour en bus, Mademoiselle ne lui permit pas de s'asseoir, et elle dut rester debout dans l'allée, exposée à tous les regards. La jeune fille n'eut pas pour autant de répit de retour chez elle. Le téléphone sonna, et Laure comprit en voyant l'heure, que ces parents l'appelaient pour lui dire qu'ils étaient bien arrivés. Mademoiselle lui ordonna de répondre, et pendant qu'elle décrocha, lui ôta son manteau et se mit à lui caresser les seins. Dès que son père parla, la fine main de l'adolescente lui caressa le ventre. Laure eut du mal à parler comme si de rien n'était. Son père comprenait à peine ce qu'elle disait. Orane mordillait son épaule en lui pinçant les fesses. Laure souhaitait raccrocher, mais elle dut attendre que sa mère arrive du jardin. Orane écarta ses fesses et s'amusa avec son anus, tout en caressant sa poitrine de son autre main. Sa mère s'inquiéta de lui trouver une drôle de voix, et lui parla de nouveau du comportement étrange qu'elle avait depuis peu. La conversation s'éternisa, et Mademoiselle ne cessa de la masturber adroitement. Laure en fût atrocement gênée, comme si ça mère avait pu voir ce qui se passait. Elle était toutefois trop bien domptée pour réagir, et se laissait faire passivement, ouvrant d'elle-même ses cuisses à l'équerre. Lorsqu'elle put enfin raccrocher, Orane l'avait si excitée que sa chatte était ruisselante de mouille. Elle jouit en reposant le combiné. - Devant ta propre mère ! Tu es vraiment une salope ! Tu ne t'étonneras pas après que je puisse te considérer comme une chienne ? l'interrogea ironiquement Orane. - Non Mademoiselle, répondit Laure, anéantis. Vous avez raison, je ne mérite pas mieux. - Alors à quatre pattes, vite ! Laure en pliant les bras, posa la joue sur le plancher. Elle sentit le souffle de Mademoiselle sur sa peau. Elle éprouva le même plaisir teinté de honte qu'elle ressentait chaque fois qu'elle s'exhibait devant sa Maîtresse. Elle se rendit compte que même en pensée, elle appelait désormais Orane " Mademoiselle " ou " Maîtresse ". L'Asiatique fixa le collier et la laisse autour de son cou, et agita de façon menaçante le martinet devant ses yeux - Tu vas maintenant te comporter comme une gentille chienne. Tu vas marcher à mes cotés, et tu t'arrêtes quand je m'arrête, c'est clair. - Oui Mademoiselle, j'ai compris. - Les chiennes ne parlent pas, elles aboient fit Orane en faisant claquer les lanières du martinet sur son dos. Laure resta un instant effarée devant cet ordre odieux. Sa dépravation semblait sans limite. Le martinet s'abattit sur sa croupe offerte, et elle gémit un pitoyable aboiement. - Plus fort ! cria Orane en la frappant de nouveau. - Ouaf Ouaf ! Laura jappa d'une voix claire, parfaitement consciente d'être totalement ridicule et grotesque. Tirant sur sa laisse, Orane lui fit faire le tour du salon, stoppant soudainement avant de repartir d'un pas tantôt vif, tantôt lent et gracieux. La pauvre Laure suivit tant bien que mal, les genoux rougis. Durant la promenade, la lycéenne s'emplit peu à peu du caractère servile de l'animal, et léchait la main de sa Maîtresse à chaque arrêt. - Tu es un bon toutou, lui dit-elle en lui caressant distraitement la tête. Tu mérites d'aller jouer un peu dehors. Laure dut suivre sa perverse rivale dans le jardin qui bordait la maison. Elle remercia une fois de plus la haute haie qui la préservait des regards du voisinage. L'herbe humide et grasse s'incrustait dans la chair de ses paumes et de ses genoux. Le rythme rapide que lui imposait Mademoiselle la réchauffa rapidement, mais elle fut soudain prise d'une terrible envie d'uriner. Orane le remarqua à ses tortillements comiques du bassin, et lui ordonna de se soulager. - Allez, ma chienne, fait ta pisse ! Allez ! - Oh pitié, Mademoiselle Orane, pas ça, je ne pourrais jamais, sanglota Laure. - Il me semble t'avoir dit que les chiennes ne parlent pas, rugit Orane en la cinglant violemment entre les cuisses avec son martinet. Un second coup, mieux ajusté, l'atteignit sur le sexe, et Laure se recroquevilla à terre sous la douleur. Sous la menace des fines lanières de cuir, Laure, livide, s'accroupit pour obéir. - Non, pas comme ça ! commanda Mademoiselle. Je veux que tu le fasses à quatre pattes, contre cet arbre, la jambe bien levé. Laure, en sanglotant, prit la pose demandée. Elle prit appuis sur ses paumes posées bien à plat sur le sol, et leva la jambe aussi haut qu'elle pouvait. Elle crut un instant qu'elle n'y arriverait pas, qu'elle allait craquer, mais son envie fut la plus forte. Un long jet doré jaillit de sa chatte pour s'écraser au pied de l'arbre. Laure se sentait totalement indécente, souillée, et pleurait en silence. La fine asiatique se pencha alors sur elle, en lui flattant délicatement le dos. - Là, c'est bien, tu es une bonne chienne lui susurra-t-elle presque tendrement à l'oreille. Je suis contente de toi, tu mérites une récompense. Je vais te réchauffer un peu. L'Asiatique l'enlaça délicatement, déposant de fugaces baisers sur son dos nu. Laure ne bougea pas, mais ses sanglots s'apaisèrent peu à peu. Les lentes caressent d'Orane sur sa peau faisaient naître en elle une douce chaleur. Elle tenta de parler, mais l'index de la jeune fille se posa légèrement sur sa bouche. - Chut, ne me forces pas à te punir murmura-t-elle. Laure lui manifesta donc sa reconnaissance par un bref jappement heureux, avant de lui lécher humblement la main. Les gestes de sa Maîtresse se firent plus précis, et elle la masturba bientôt avec la même adresse que tout à l'heure. Laure se sentit comblée en sentant la langue experte de l'Asiatique se poser sur les lèvres luisantes de son minou. Mais alors qu'elle était au bord de l'extase, les lèvres minces de l'adolescente se décollèrent soudainement de sa chatte, la laissant frustrée et pantelante. Laure voulut la supplier de continuer, mais elle ne savait pas comment les chiens supplient. Elle rampa donc aux pied de sa Maîtresse, et lui lécha servilement les chaussures. Elle s'appliqua à bien sortir sa langue, comme Mademoiselle aimait, et se mit à remuer les fesses de façon vulgaire. Cela fit rire aux éclats Orane, mais celle-ci en voulait davantage. - Si tu veux une caresse, ma chienne, il faut faire la belle. Laure en resta un instant interloquée. L'imagination perverse de la belle asiatique n'avait de cesse de lui trouver des brimades de plus en plus déshonorantes et sordides. Les joues en feu, elle se redressa lentement, à genoux, repliant les bras pour amener ses mains au niveau de sa poitrine. Mademoiselle ne fut toujours pas satisfaite, et corrigea sa position en promenant les lanières de cuir sur son corps. Comme pour lui signifier que la récompense était terminée, et qu'une punition pourrait très vite arriver. Elle exigea que Laure se tiennent accroupie, sur la pointe des pieds, les fesses reposant sur les talons. La lycéenne dut alors ouvrir largement les cuisses et se tenir bien cambrée, les mains ramenées juste sous ses tétons. Elle dut enfin haleter comme un toutou, la bouche grande ouverte, langue pendante. Elle garda cette position infamante tandis qu'Orane tournait autour d'elle, caressant sa croupe, soupesant ses seins ou titillant ses tétons érigés. Sa dominatrice fut sans doute ravie de son abjecte docilité, car elle lui fit reprendre sa position de levrette, et recommença son cunnilingus. Elle se servit du manche de cuir du martinet comme d'un phallus, pénétrant profondément son vagin, alors que sa langue remonta vers sa rosette. Une fois son anus bien humide, elle entreprit de le dilater doucement de ses doigts. Puis elle ressortit le manche luisant de cyprine de sa vulve rasée, avant de l'enfoncer dans son petit trou. Laure sentit son rectum s'ouvrir lentement pour accueillir la poignée au fond de ses reins. L'Asiatique redonna quelques coups de langue rapide sur son clitoris gonflé, qui procurèrent à Laure une jouissance intense et violente. La tête au sol, le cul en l'air, elle reprenait son souffle, le martinet toujours fiché en elle. - C'est parfait, ricana Orane, il ne te manquait plus qu'une queue. Elle sortit alors l'os de plastique de sa poche, et le lança à une dizaine de mètre. - Allez, ma chienne va chercher ! Vite, ramène le nonosse, en aboyant bien fort. Et interdiction de perdre ta queue en route, où il t'en cuira. Laure se lança péniblement à la recherche du jouet, toujours à quatre pattes, serrant le plus fort possible son anus autour du manche de cuir. - Je veux t'entendre aboyer ! lui rappela alors Orane. - Wouf Woouf - Plus fort ! insista sa Maîtresse en lui donnant un violent coup de pied aux fesses. - WOUF WOUF OUAF Arrivée vers l'os, Laure hésita un instant sur la façon de rapporter le jouet, puis le prit entre ses dents, avant de repartir vers sa propriétaire, aussi vite que lui permettait sa posture. Le jouet émettait de petits couinements risibles lorsqu'elle le serrait dans sa bouche. Elle dut de nouveau " faire la belle " pour remettre le jouet à Mademoiselle, qui le relança aussitôt. Le jeu dura ainsi une dizaine de minutes, puis sa Maîtresse la fit rentrer à la maison. Laure était exténuée et trempée de sueur. Mademoiselle eut la générosité de lui accorder une douche et une heure de repos avant qu'elle ne s'occupe du déjeuner. Mais avant, Laure, en chienne bien éduquée, dut bien sur lui apporter ses pantoufles, les tenants dans sa bouche, toujours à 4 pattes. Chapitre 10: Un long week-end Nue sous la douche, Laure savourait pleinement sa récompense. L’eau chaude tombait en cascade sur ses épaules, délassant chaque fibre de son corps. Elle la fit durer jusqu’à ce que ce que la salle de bain fut engloutie sous la buée. Puis elle enroula une serviette autour de ses cheveux et passa son peignoir. Elle vérifia l’heure, et constata avec soulagement qu’il restait encore vingt minutes avant de devoir retourner au service d’Orane. Le moindre retard lui vaudrait sûrement une dure punition, mais il lui restait largement le temps de se préparer. Tout d’abord, elle vérifia minutieusement son épilation, inspectant chaque recoin de son intimité. Orane ne lui avait accordée pour cela qu’une pince à épiler, ce qui rendait la tâche longue et douloureuse. Une fois satisfaite, elle se consacra au maquillage. Connaissant les goûts de Mademoiselle, elle fit quelque chose d’osé et provocant, soulignant outrageusement le contour de ses yeux, colorant ses lèvres d’un rouge si voyant qu’il en était presque vermillon. En contemplant le résultat dans son miroir, Laure réalisa soudainement que même en l’absence d’Orane, elle se conduisait exactement comme Mademoiselle le souhaitait. Comme une esclave docile, qui se maquille en pute pour faire plaisir à sa Maîtresse. Sans même que celle-ci ne lui en donne l’ordre. Elle secoua la tête en constatant à quel point l’emprise d’Orane sur sa vie était devenu importante depuis les derniers mois. Elle remit ses attributs de bonniche, et regarda de nouveau son reflet. Avec sa coiffe de soubrette et son maquillage vulgaire, elle se trouvait ridicule. Mais sa Maîtresse aimerait sûrement, et la satisfaire était son devoir. Cette pensée l’échauffa, et elle se demandait avec une crainte mêlée d’excitation jusqu’où elle pourrait aller pour plaire à Orane. Plus l’Asiatique était sévère et exigeante, et plus Laure l’adorait et la vénérait. Le tintement de la clochette la tira de ses réflexions. Laure finit de se préparer en vitesse, mettant autour de son cou le collier de chienne au médaillon gravé de son prénom. Elle descendit les escaliers aussi vite que lui permettaient ses escarpins à talon haut pour se rendre en cuisine. Mademoiselle désirait son apéritif, et elle détestait attendre. Orane se prélassait sur le canapé du salon, tirant de longue bouffée d’une cigarette de cannabis. Elle prenait un plaisir considérable en regardant Laure à genoux devant elle, portant un plateau ou reposait un verre, une bouteille de Martini blanc et un bol de glaçon. Cela faisait au moins dix bonnes minutes maintenant qu’elle attendait ses ordres, le regard baissé. En silence. Mademoiselle sourit en imaginant la trame de la moquette qui devait s’incruster dans la moquette, et ses efforts pour tenir le plateau bien droit. La façon dont son esclave s’était maquillée l’amusait beaucoup. - Tu peux servir, commanda-t-elle, en lui soufflant sa fumée en plein visage. - Bien Mademoiselle Laure put enfin déposer le plateau sur la table basse du salon. Elle servit un verre et l’apporta à Orane, à genoux. L’Asiatique se saisit du verre sans la remercier. Laure croisa ses mains dans son dos, et baissa de nouveau la tête. Attendant patiemment que Mademoiselle daigne de nouveau s’occuper d’elle. Au bout d’un long moment, Orane paru se souvenir de son existence. - Si tu ne sais pas quoi faire, dit-elle après avoir bu une gorgée, tu peux toujours embrasser mes chaussures. - Merci Mademoiselle fit Laure en s’exécutant. Elle déposa une série de longs baiser sur le cuir des souliers de la fine adolescente, ne pouvant s’empêcher de jeter à la volée de brefs regards sur le haut des jambes de l’Asiatique. Une soudaine impulsion lui fit embrasser la cheville nue qui se balançait devant sa tête. Comme celle-ci sembla l’ignorer, Laure s’enhardit et déposa plusieurs timides baisers remontant le long de la jambe. Elle commençait à embrasser avec passion les cuisses de Mademoiselle sous sa jupe, lorsque soudain la semelle d’Orane se posa sur sa poitrine, et la repoussa brusquement. - Il me semblait d’avoir dit les chaussures, non, sale petite vicieuse. - Je, je suis désolée, bredouilla Laure, sincèrement confuse. - Allons, ne me racontes pas de salades ! Tu viens me voir fardée comme une putain, et tu espérais que cela mériterait une récompense, non ? - Non, je… bredouilla piteusement Laure. Elle se sentait perdue, comme une petite fille prise en faute. Une violente gifle l’atteignit en pleine joue. Déjà la main d’Orane se levait de nouveau, pleine de menaces. Pourtant Laure ne fit rien pour éviter trois autres claques, toutes aussi violentes et méchantes. - Oui, pardon avoua Laure, les yeux rougis de larmes. Pardonnez mon audace, je pensai vous faire plaisir. - Me faire plaisir ! Ria Orane. Te faire plaisir, oui, grosse gouine ! Avoue que tu rêves de brouter mon petit minou, fit-elle en promenant ses longs doigts fin sur sa joue. - Je… Oui, vous… avez raison, c’est moi qui le voulais, réussi péniblement à articuler Laure. Elle rentra la tête dans les épaules, honteuse de devoir dire tout haut ce qu’elle encore avait du mal à s’avouer à elle-même. - J’attends des excuses, immédiatement ! Espèce d’obsédée, rugit Mademoiselle si brusquement que Laure en sursauta. - Pardon, Mademoiselle, pardon supplia Laure en s’aplatissant littéralement sur le sol. Je suis stupide d’avoir cru… - Tu n’es pas seulement stupide, tu es une conne ! Une gouine ! L’interrompit brutalement l’Asiatique. Constamment en chaleur ! Une vraie truie ! - Oui, vous avez raison… - Alors dis-le ! - Je ne suis qu’une conne, une truie en chaleur, articula péniblement la jolie adolescente, le front collé au plancher. Une petite gouine, une salope, une cochonne, une pute. - Exactement dit gravement Orane, la dominant de toute sa hauteur. Tu es la pute qui offre son cul à la demande, pas moi ! Ma chatte m’appartient, et c’est à moi de décider si tu mérites l’honneur de la lécher. Ta chatte aussi m’appartient, d’ailleurs. Ainsi que tous tes orifices, et je pense que je vais devoir te le rappeler. Laure ressentit une vive angoisse en essayant d’imaginer quelle punition Mademoiselle allait lui réserver. Orane faisait toujours preuve d’une perverse inventivité en la matière. Laure sentait à la froideur de la voix de sa Maîtresse qu’elle lui réservait quelque chose de particulièrement odieux et humiliant. Elle tenta désespérément de gagner un peu d’indulgence de sa propriétaire. Dans un geste de pure soumission, elle prit délicatement le pied de la lycéenne entre ses mains, et la posa sur sa tête. - Je vous demande humblement de me punir comme je le mérite. S’il vous plaît, Mademoiselle, faîtes de moi une esclave bien obéissante. - Bien, alors saches que ta punition durera toute la soirée. Pour commencer, files en cuisine, et commence à préparer le dîner ! Pour une personne, seulement. Toi, tu mangeras si je le veux bien. Allez, ouste ! Fit-elle en pointant son index vers la porte du salon. Laure commença à se redresser, mais Orane lui précisa qu’elle devrait à présent, sauf avis contraire, se déplacer en rampant. - Attends un instant, intima l’Asiatique, alors que Laure entamait sa reptation jusqu’à la cuisine. La jeune fille alla chercher le gode que Laure avait du acheter pour tourner la vidéo. Elle revint, d’une démarche féline, vers sa chienne, toujours allongée sur le ventre, et jeta négligemment l’objet sous son nez. - Fixes-toi ça dans le cul, ça rendra les choses plus intéressantes - A… A sec, Mademoiselle ? Le regard mauvais que lui jeta Orane lui fournit sa réponse. Bien, je… vais le faire, à vos ordres. La joue collée à la moquette, Laure fit remonter sa croupe, ses longues cuisses ouvertes à 90 degrés. Elle pointât le sexe de plastique sur sa rondelle mate, et commença à pousser. Elle avait l’impression de devoir se déchirer en deux, l’épais leurre lui meurtrissait l’anus. Peu à peu, les traits tordus de douleur, gémissant pitoyablement la bouche grande ouverte, elle parvint à enfoncer le gode de plusieurs centimètres. Mais sa Maîtresse était intransigeante : - Enfonce le correctement, enculée ! Dit-elle en posant sa semelle sur l’extrémité du gode saillant des fesses rondes. Elle finit de fourrer l’objet en le poussant brutalement du pied. Laure ne put retenir un cri de douleur. - Et maintenant, Rampes ! Les nichons et la moule bien appuyés au sol. Et gardes-moi ce gode bien profond. La jolie déléguée se dirigea donc péniblement ainsi vers la cuisine, sous les insultes de sa camarade de classe : - Comme ça, je suis sûre de pouvoir te suivre à la trace fit-elle, riant aux éclats, comme les escargots. Sa progression était lente et pénible. La moquette frottait durement ses tétons érigés, et le gode se rappelait à elle à chacune de ses ondulations. Lorsqu’elle parvint enfin à la cuisine, elle était atterrée de constater que Mademoiselle avait eu encore raison : elle mouillait abondement. Elle se sentait méprisable, et elle aimait ça. Elle se releva pour se mettre au travail. Laure ne savait absolument pas cuisiner, ayant toujours été habitué à avoir une cuisinière pour cela. Heureusement pour elle, elle avait juste à faire réchauffer les plats que cette dernière lui avait laissés en l’absence de ses parents. Durant ce temps, elle commença à dresser la table. En l’honneur de sa Maîtresse, elle sortit une jolie nappe blanche et le service de mariage de ses parents. Ils la tueraient sûrement sur-le-champ si elle cassait une seule pièce de ce service que sa mère adorait. Mais décevoir Mademoiselle serait encore pire. Surtout en ce moment. Orane la rejoint à ce moment là, le martinet à la main. Elle avait l’ait mutin de quelqu’un qui prépare une bonne farce. Elle s’adossa à la porte pour contempler sa bonniche s’affairer. - Inspection ! Dit-elle, toujours souriante. Laure cessa immédiatement ses activités pour venir se placer en position d’inspection. Debout, sur la pointe des pieds, les jambes bien évidemment largement ouverte, les seins offerts à deux mains. Orane lui avait ainsi fait apprendre par cœur une dizaine de postures. Laure devait les consigner dans un carnet, et chacune était illustrer par un cliché d’elle prenant la position. Cela faisait partie de ses « devoirs » d’esclave. Orane s’amusa un instant à lui tordre le bout des tétines, avant de plonger la main vers sa vulve. Elle sourit plus largement encore en constatant à quel point le sexe de son jouet était chaud et humide. L’Asiatique caressa du bout des doigts les replis du vagin jusqu’à ce que Laure ne puisse plus retenir ses gémissements. Elle pinça alors fortement le clito érigé de la jeune fille. Les longs ongles de Mademoiselle s’incrustèrent dans la chair tendre. Laure eut si mal qu’elle ne put s’empêcher de porter les mains vers son sexe. - Gardes la pose, poufiasse, insista Orane, sans la lâcher. - Ouch ! Oui Mademoiselle, pardon… Cela fait trop mal, pitié. - Je te rappelle que tu es punie. Tu n’avais qu’à retenir tes pulsions, lèche cul ! - Aïe! Oui merci Mademoiselle Orane. C’est vrai, je le mérite. Laure reprit donc la position d’inspection, faisant des efforts surhumains pour ne plus bouger. Magnanime, Mademoiselle arrêta alors de la pincer, et elle se confondit en remerciements, conservant scrupuleusement sa pose avilissante. Sa dominatrice exigea ensuite qu’elle lui « montre son intelligence ». Le seul nom de cette pose était une terrible vexation pour la brillante étudiante. Laure se retourna et se pencha comme si elle voulait toucher ses orteils. Des deux mains, elle ouvrit amplement son sexe et son anus. C’était là en effet que Mademoiselle situait ses capacités intellectuelles. Orane arracha brusquement le gode, le lança dans le bac à vaisselle, et partit vers le frigo. Elle revint avec deux glaçons : - Voilà peut être un moyen de calmer tes ardeurs fit-elle en lui enfonçant l’un après l’autre les glaçons dans le vagin. Bien sur, je te conseille de ne pas les perdre. Laure crût défaillir, le froid était si fort qu’il là brûlait intérieurement. Elle pouvait à peine marcher, et Mademoiselle exigea pourtant qu’elle commence à servir le repas. Tremblante, elle réussit à poser l’entrée sur la table. Entre chaque plat, Mademoiselle lui demandait de changer les couverts et les assiettes. Pendant que Mademoiselle mangeait, sa servante restait debout derrière sa chaise, prête à réagir aux moindres claquements de doigts. Tout en sentant les glaçons fondre doucement dans sa chatte. Ceux-ci finirent par glisser hors d’elle après que Mademoiselle eut finit son hors d’œuvre. Il atterrirent sous la table, faisant un bruit cristallin. - Nettoie-moi ça tout de suite ! Avec la langue, ajouta-t-elle alors que Laure prenait une éponge. - Je suis navrée Mademoiselle, je vais tout laver. Elle rampa donc sous la table, et avala ce qui restait des glaçons, avant de lécher à même le sol la moindre goutte d’eau répandue. Elle sentit alors la chaussure de Mademoiselle pointée à l’entrée de son vagin. Ses chairs intimes étaient encore glacées, et Laure frissonna longuement à ce contact. - Tu as eu froid, souillon ? S’enquit-elle d’une voix douce. - Oui Mademoiselle, beaucoup. Mais je le méritais. Merci de corriger mes vilains défauts répondit obséquieusement la jeune bourgeoise. - Pauvre petite gouine. Tu vas voir, je vais arranger ça. Le ton très ironique de Mademoiselle ne la rassurait pas du tout. Malgré tous ses efforts et sa servilité, Laure sentait que la perverse asiatique allait faire durer sa punition encore longtemps. En effet, Mademoiselle souhaitait finir son repas aux chandelles. Et Laure serait la chandelle. Orane la fit grimper sur la longue table et s’allonger sur le dos. Laure dut prendre ses jambes entre les bras, sous les genoux, de façon à bien relevé ses fesses à la verticale. Orane prit alors une des bougies rouges du chandelier de la salle à manger, la planta entre ses jambes et l’alluma. Pour maintenir la position de son esclave, elle ligota ses poignets entre ses cuisses à l’aide de serviettes. Mademoiselle recula de deux pas pour admirer son œuvre. Son assiette était tout près des fesses ouvertes, et elle ne pouvait manquer aucun détail. Sa poupée ne disait rien, mais elle la suppliait des yeux. Complètement à sa merci. La jeune asiatique se régalait. Elle fit remonter sa jupe courte le long de ses hanches cuivrées et se tortilla pour enlever sa culotte. Elle la fourra ensuite dans la bouche de son esclave. - Je l’ai portée toute la journée, elle doit avoir un peu de mon goût se moqua-t-elle. Si tu as mal, mords la bien, tu sauras pourquoi tu souffres, bouffeuse de chatte. L’adolescente dut conserver son rôle de bougeoir jusqu’à la fin du repas de sa propriétaire. Mademoiselle avait du prendre un vif plaisir à la maltraitée toute la journée : son slip était trempé. Le fort goût acre et salé l’écœurait et l’excitait en même temps. La bougie coulait abondamment, et elle ne tarda pas à ressentir la cuisante douleur provoquée par la chute des gouttes de cires. Plusieurs tombèrent sur son clito, et elle dut se contrôler pour ne pas sursauter et faire tomber la bougie sur la nappe. Sa Maîtresse ne la libéra que pour qu’elle puisse débarrasser la table et laver la vaisselle. Elle enleva d’abord la bougie, et nettoya la cire en frottant sèchement l’entrejambe de Laure du plat de la paume, avant de la détacher. Pendant que Laure lavait la vaisselle, Mademoiselle s’amusait à lui tourner autour, la frappant avec son martinet avant de la caresser tendrement de la main. Laure remercia pour chaque coup. La jeune brunette prit tout son temps, explorant de son martinet et de sa bouche le corps entier de sa soubrette. Laure sentait les lanières fouetter ses seins, ses cuisses, son dos. Sa maîtresse dosait avec art la puissance de ses coups, certains échauffaient à peine sa peau alors que d’autre la mettaient au supplice. La jolie lycéenne ne résista pas longtemps à pareil traitement, et finit par jouir sous les lanières de cuir. Le résultat fut catastrophique pour la vaisselle, et Laure cassa deux assiettes et un verre. Mais la menace des ses parents lui semblait bien loin. La soirée était loin d’être finit, et déjà Orane lui fixait sa laisse, et la traînait au milieu du salon. Oui, le week-end promettait d’être bien long pour la jeune Laure. Chapitre 11 : Mademoiselle Orane prépare sa chienne — Allez trotte petite gouine !! dit Orane en accélérant le pas pour tendre la laisse. Trotte, j’adore voir tes grosses loches se balancer !! Privée de toute volonté de révolte, Laure subissait, honteuse et humiliée. Arrivée dans le salon, suivie de la belle esclave Orane se laissa choir dans le canapé. — Sers-moi un verre, et viens t’agenouiller devant moi. Aussitôt Laure se précipita — Voici votre verre de vin Mademoiselle Orane. — Je vais regarder la télé, pendant ce temps-là tu vas recommencer à me lécher les pieds pétasse, mais cette fois fais en sorte de te contrôler, espèce de nympho. ! Au bord des larmes, les yeux baissés Laure souleva délicatement le pied droit de sa maitresse. — Je vous remercie infiniment de permettre à votre esclave de vous lécher les pieds Mademoiselle Orane, c’est un très grand honneur… — Oui, je trouve aussi, mais que veux-tu … tu es une telle chaudasse ma chienne qu’il faut bien que je fasse preuve d’un peu de bonté! Orane éclata de rire. — Allez lèche bien et tais-toi, je ne veux plus t’entendre ! Et surtout ne t’avise pas d’arrêter avant que je te le dise. Laure lécha ainsi les pieds et les chevilles de sa maitresse pendant plus d’une heure. Elle ne sentait plus ni sa langue ni ses mâchoires tellement elle avait mal. Quand elle en eut assez, Orane la repoussa brutalement du pied. Surprise Laure s’étala de tout son long sur le dos dans une position obscène sous le rire moqueur d’Orane. — Dépêches toi de m’apporter ta laisse ! En envoyant un grand coup de pieds dans les fesses de sa soumise. Orane cria : — Avec les dents bien sûr !! Reste à 4 pattes !! Mécaniquement et sans même se plaindre, Laure obéit, se saisit de la poignée de la laisse entre ses dents et revint la déposer dans la main tendue de sa maitresse. — Tu ne vaux décidément pas grand-chose comme bonniche, mais comme chienne tu es potable ! Même si tu as encore grand besoin d’être dressée ma salope. — Je vous remercie de bien vouloir dresser la grosse chienne que je suis Mademoiselle. Orane se leva en souriant, satisfaite de la soumission sans cesse grandissante de Laure. — Je vais me coucher, suis moi, oui comme ça à 4 pattes bien sûr !!! Je vais dormir dans ta chambre ce soir. Et comme il est acquis que tu es une chienne, et bien tu dormiras comme une chienne au pied du lit de ta maitresse. — Merci Mademoiselle, répondit Laure anéantie par cette nouvelle humiliation. — Tu comprends bien qu’avec une chienne en cours de dressage comme toi, il me faut prendre quelques précautions… En disant cela Orane se servit de la laisse pour attacher les poignets de sa soumise au pied du lit — Comme ça je suis sure que tu ne pourras pas céder à tes instincts de salope en chaleur ! Elle lui jeta une serviette de bain. — Ça te suffira pour te couvrir, tu es tellement en chaleur que tu n’auras pas froid ! Peut-être qu’il faudrait que je prévois une niche pour te faire dormir dehors !!!! Orane éclata de rire — Allez couchée salope ! Cette perspective effraya Laure, qui sait de quoi Orane était encore capable… — Merci de prendre soin de votre chienne Mademoiselle. — Je te conseille de bien dormir, demain va être une journée très spéciale pour toi… Malgré ce conseil Laure dormit très mal cette nuit-là. A même le sol, à peine couverte, morte d’inquiétudes pour la journée du lendemain et la tête pleine de pensées sombres, elle ne réussit à s’endormir que très tard dans la nuit. Les premières lueurs du jour, la réveillèrent. Elle resta immobile pour ne pas réveiller Orane, ses poignets la faisait souffrir, elle était courbatue de partout. Plus tard sa maitresse émergea et se pencha du lit pour détacher les poignets de sa captive. — Lève-toi et va me préparer mon petit déjeuner, et déches toi un peu pétasse ! — Bon…bonjour Mademoiselle, je…oui tout de suite. Laure sortit précipitamment de sa propre chambre pour filer à la cuisine. Un peu plus tard, elle remontait l’escalier vers sa chambre, un plateau chargé du petit déjeuner de sa maitresse. Lorsqu’elle pénétra aussi doucement que possible dans sa chambre, Orane était alanguie à peine couverte d un drap. Laure ne put s’empêcher de rester quelques secondes immobile à regarder le corps parfait de celle qu’elle vénérait et qui tenait sa vie entre ses mains. — Pose le plateau sur ton bureau et viens dire bonjour à ta maitresse comme une chienne doit le faire. Alors Laure monta aussi délicatement que possible à 4 pattes sur le coin de son lit, passa la tête sous le drap et commença à lécher le plus délicatement possible les pieds d’Orane, puis ses chevilles. La jeune asiatique ne tarda pas à réagir, à s’étirer puis à ouvrir les jambes. — Huuummm ouiiii c’est très bon ça ma grosse chienne !! huummmouiii remonte encore . . . tu en meurs d’envie grosse gouine !!!! Elle riait, tellement heureuse de ce qu’elle obtenait de Laure. Sous le drap, Laure voyait maintenant distinctement le sexe magnifique de sa maitresse, elle en sentait aussi les effluves nocturnes. Bien sûr elle en eut honte mais déjà le trouble s’emparait d’elle au fur et à mesure que son visage s’en approchait. — Fais ça bien salope !! Où tu vas le regretter !!!! Et je ne veux pas sentir tes mains me toucher !! La langue de laure se posa sur le sexe de sa maitresse et entama un lent va et vient. Orane était aux anges, c’était divin. Elle laissa Laure continuer, lui imposait d’accélérer, de ralentir, de monter de descendre. — Hummmmm je vais jouir ma chienne, dit-elle en retirant le drap. La vue de son esclave à genoux, les mains dans le dos, entrain de la lécher déclencha son plaisir. Elle hurla en resserrant les cuisses emprisonnant ainsi la tête de la pauvre Laure. Celle-ci, le visage maculé du jus de sa maitresse avait du mal à respirer mais n’aurait voulu pour rien au monde être ailleurs ! — Nettoies moi bien ma chienne, après tu me feras le cul aussi ! dit-elle en riant. Dépêche toi tu adores ça !!! — Oui mademoiselle Orane c’est vrai que je suis une grosse gouine qui adore boire votre jus… — ET ??? Allez la suite ! Dis-le bien fort pétasse !!! — Et…. Et qui adore vous lécher le cul aussi !! — Et bien tu vois quand tu veux ma chienne…. répondit Orane en se retournant pour présenter son adorable postérieur à sa chienne. Quelques instants après le visage de Laure se collait à ses fesses et aussitôt Orane sentit cette langue agile aller et venir dans sa raie. -HUMMMM ouiii ma chienne tu es décidément très douée pour me lécher le cul !!! Je suis de bonne humeur ce matin ma salope alors je t’autorise à enfoncer ta langue bien profondément !! En disant ça Orane cambra un peu plus son bassin, et son esclave, effondrée d’être à nouveau humiliée comme ça dès le matin darda sa langue en pointe dans l’anus de sa maitresse. — Ca suffit pétasse, tu aimes trop ça !!! Orane se redressa appuyée contre la tête du lit — Mon petit déjeuner vite !! Viens te mettre à 4 pattes au-dessus de mes jambes tu me serviras de table !!!! Laure prit la pose ordonnée et Orane pose le plateau sur son dos. — Il va s’en dire que si tu le renverse je te punirai grosse gourde ! — oui mademoiselle… — Tu avais pourtant bien commencé la journée, et là tu gâches tout, tu es vraiment stupide !! Tu ne m’as pas remerciée de t’avoir autorisée à me lécher le cul et en plus ce café n’est plus assez chaud maintenant !!! En disant cela Orane s’était saisi du téton de Laure et le pinçait horriblement fort en tirant dessus. — Ooouuucchhcaaiaiieeee Je… je vous prie de bien aaaiiiieee de bien vouloir excuser votre grosse chienne stupide mademoiselle ...... aaiaiiiiieee — Bon… et qu’est-ce qu’on fait à une grosse chienne stupide et indisciplinée, salope ?? — On aaiaiaiee on la punie mademoiselle aaaiiiiieiee Orane était toujours en train de tirer de plus en plus fort sur son téton. Ce qui devait arriver, arriva. Sous la douleur Laura gigota tellement que le plateau se renversa. Quand elle sentit le café sur son dos, elle se dit que sa maitresse était quand bien injuste… Il était encore bien chaud ce café ! — Hors de ma vue !! Dégage et vite va faire la vaisselle et tu rappliques en courant dès que je te sonne !!!!! Emportant le plateau Laure sortit de sa chambre la tête basse, le téton et le dos endoloris !! Encore alanguie dans le propre lit de son esclave Orane était aux anges, la servilité de sa camarade de classe ne cessait de la surprendre. Décidément elle en faisait ce qu’elle voulait et elle adorait ça. Elle se leva et se dirigea vers la salle de bain, se fit couler un bain et agita la cloche. Il fallut à peine quelques secondes à Laure pour remonter dans la salle de bain. — Ce que tu peux être lente ma pauvre ! Bon viens là et savonne moi ! — Oui mademoiselle, votre chienne vous remercie de l’honneur que vous lui faites en la laissant vous savonner mademoiselle. — Humm j’adore quand tu es comme ça ma grosse salope, servile et soumise. Je vais m’absenter une heure ou deux ce matin, ma chienne, pour finir de préparer ta surprise. Alors pour ta punition, tu vas à nouveau te maquiller comme une pute comme tu l’as fait hier soir en exagérant même encore un peu plus, et je vais t’attacher dehors sur la terrasse et tu m’attendras comme ça… tu ne vois ce n’est pas si terrible ! conclut Orane en riant. — Bon sèche moi dit-elle en se levant. Laure aurait dû être soulagée, mais elle connaissait maintenant la perversité de sa maitresse et elle s’attendait à bien pire. — La salle de bain est à toi ! Et n’oublie pas hein . . . bien bien vulgaire ! . . . Très très pute !!! En bonne esclave docile Laure entreprit de se maquiller. Cela lui prit plus de 20 minutes mais le résultat était stupéfiant. Elle eut elle-même un léger sursaut en voyant son reflet dans le miroir. Les yeux soulignés de noir, les paupières colorées de vert, les cils tirés, la bouche outrageusement dessinée en rouge vif, lui donnaient déjà un air de pute, mais Laure avait poussé l’obéissance jusqu’à farder ses aréoles et à passer au rouge les lèvres de son sexe épilé. Elle n’avait rien laissé au hasard. Elle avait rassemblé ses cheveux en un chignon et s’était même aspergée d’un parfum très fort qu’elle n’utilisait jamais. Mademoiselle avait dit très pute… Laure laissa alors sa tenue de soubrette, traversa nue l’étage vers la chambre de ses parents et alla fouiller dans les dessous de sa mère. Jamais elle n n’aurait osé faire ça avant mais cela ferait surement plaisir à Orane. Elle trouva une paire de bas noirs très fin qui trancherait merveilleusement avec son porte-jarretelles rose. S’estimant prête, elle emprunta à sa mère une paire d’escarpins noirs à talons hauts avec une lanière de cheville. Ainsi accoutrée, elle descendit au salon où sa maitresse l’entendait. — Votre pute est prête mademoiselle… Orane se retourna lentement, regarda de bas en haut le corps de Laure, pendant plusieurs secondes, puis lui dit avec un sourire de satisfaction : — Tu es vraiment faite pour ça… Ces quelques mots brulèrent Laure au plus profond de son être — Approche ici que je finisse de te préparer. Docile, Laure tendit son cou, vers sa maitresse qui y fixa à nouveau le collier. — J’ai autre chose pour toi aussi, regardes… Il s’agissait d’une belle ceinture de cuir large de 5cm. Orane lui passa autour de la taille et serra fort. Laure grimaça un peu mais ne dit rien, c’était supportable. — Tu vois ses anneaux sur les côtés ? Je vais y fixer tes poignets comme ça je suis certaine que tu ne masturberas pas comme une chienne dès que j’aurais le dos tourné !!! Ce fut fait en quelques minutes. — J’ai encore autre chose pour toi. Tu ne t’imaginais quand même pas que la punition s’arrêtait là hein pauvre gourde !! Regarde ! Orane agitait devant les yeux de sa soumise 2 clochettes accrochées chacune à une pince — Allez dis-moi où ça va être accroché ça ma pute… allez dis-le !!! Laure regardait les 2 grosses pinces avec effroi, elle se souvenait très bien de la douleur ressentie quand Melle Orane lui avait mis de simples pinces à linges sur les tétons. -Vous….vous allez les fixer à mes tétons Mademoiselle oooohhh je… je vous en priiie . . . s’il vous plaît . . . noon. Le regard d’Orane s’assombrit, elle n’eut rien besoin de dire de plus, déjà Laure se redressait et cambrait sa lourde poitrine vers sa maitresse. –Et oui !!! ca va joliment décorer tes grosses mamelles de vache !!!! A peine eut elle dit ça que la première pince se refermait arrachant à Laure une plainte de douleur. Le second téton subit le même sort. La douleur était horrible, les pinces étaient lourdes et puissantes. La pauvre se déhanchait dans tous les sens faisant tinter les clochettes mais sans pouvoir rien faire d’autre ! — Ne t’agite pas comme ça ma pute, tu ne fais qu’empirer les choses !! En tout cas tu me fais une jolie musique !!! En riant elle fixa une longue cordelette au collier de sa victime et la sortit sur la terrasse — Voilà, tu vas rester là jusqu’à ce que je revienne avec ta surprise ! La cordelette fut attachée à la balustrade de la terrasse obligeant la pauvre Laure à rester penchée en avant. — A plus tard ma pute !!! — Je vous remercie de vous occuper de moi comme je le mérite Mademoiselle, à tout à l’heure…. répondit Laure au bord des larmes. Chapitre 12 : Mademoiselle Orane offre sa chienne à Thomas Richard Laure aurait été bien incapable de dire depuis combien de temps elle était dans cette position. Penchée en avant, entravée, la poitrine lestée, sur la terrasse de la maison familiale ! Elle avait réussi à soulager un peu sa poitrine. En se hissant sur la pointe des pieds, autant que la cordelette le lui permettait, elle avait laissé ses seins et leurs ornements reposer sur la balustrade. Ainsi seule pendant près de deux heures, elle n’avait cessé de gamberger. Que lui arrivait-il ? Comment en était-elle arrivée là ? A accepter de se laisser ainsi avilir, humilier… Et, pire que tout, comment se faisait-il qu’elle y prenne autant de plaisir ? Plus Orane la tourmentait, l’humiliait, la martyrisait et plus elle y prenait plaisir. Elle en était là de ses réflexions quand le bruite du portillon qui s’ouvrait la fit sursauter. Sa maitresse était de retour et Laure se surprit à en être presque contente. Elle savait pourtant qu’Orane avait prévu une suite aux festivités et qu’elle lui avait promis un moment inoubliable… Elle dut attendre encore de longues minutes. Elle entendait sa maitresse s’activer dans le salon sans pouvoir déterminer ce qu’elle faisait. Son angoisse mais aussi son impatience grandissaient. La porte coulissante finit par s’ouvrir et Orane apparut enfin, resplendissante dans une élégante robe blanche. Que le contraste était saisissant avec elle ! — -Alors ma pute, tu as été sage ? — Bonjour Mademoiselle Orane… oui Orane s’approcha et détacha la cordelette, Laure put enfin se redresser en soufflant. — Merci Mademoiselle de libérer votre pute. — Hummm c’est bien ma belle . . . ça commence à rentrer ! Je t’ai promis une fin de week-end mémorable, alors prépare toi à une sacrée surprise !!! Orane éclata d’un rire qui ne dît rien de bon à sa soumise. Elle raffermît la cordelette dans sa main, adressa un grand sourire à Laure et se dirigea d’un pas décidé vers le salon entraînant sa soumise à sa suite. Il fallut à Laure plusieurs secondes pour réaliser. Assis dans le grand canapé en cuir du salon, Richard Thomas la regardait aussi surpris qu’elle ! Laure cru défaillir et poussa un cri, tenta de se soustraire au regard de Richard. Mais sa maitresse tenait fermement la cordelette ! Orane avait osé amener Richard Thomas ici ! Chez elle, et lui révéler sa condition !! Laure restait bouche bée, au bord des larmes. Orane jubilait. Elle savait où trouver Richard le dimanche matin, et il ne lui avait pas fallu longtemps pour le persuader de l’écouter. SI elle n’avait bien sur jamais été amie avec lui, Orane ne s’était jamais associée aux moqueries et brimades que tout le monde avait fait endurer à ce pauvre garçon. De cette indifférence et de cette distance, lui qui avait tout subit au lycée, il lui gardait une certaine reconnaissance. Alors, lorsque ce matin, quand il avait vu arriver Orane au bord du terrain de foot près duquel il trainait, et qu’elle était venu lui proposer de se venger d’une des quatre filles qui l’avait fait marcher à 4 pattes en grognant, il n’avait pas hésité une seconde ! Jamais pourtant il n’aurait imaginé, avant de la voir devant lui comme ça, qu’il pouvait s’agir de la plus populaire de toutes, la superbe Laure Clermont !! — Tu vois, Richard, je ne t’avais pas menti. Richard ne trouva rien à répondre, il était complètement stupéfait de ce qu’il voyait ! Laure, une des plus jolies filles du lycée, des plus enviées, était debout devant lui. A peine vêtue et maquillée comme une pute et tenue en laisse par sa grande rivale Orane de Bréot ! Jamais bien sûr il n’aurait pu imaginer cela. — Comment elle en est arrivée là, ne te regarde pas Richard, mais j’ai pensé qu’il te serait agréable de lui rendre la monnaie de sa pièce. Après tout la roue peut tourner pour tout le monde non ? Qu’en penses-tu ? — Ca alors…. Je n’y crois pas… C’est… ce n’est pas possible !!!! Son regard courrait sur le corps de Laure sans aucune retenue, pour un peu il en aurait bavé ! — Elle est belle non ? Lui dit Orane -Tiens prends sa laisse, promène là un peu si tu veux. C’est presqu’en tremblant que Richard se leva et pris la cordelette. Il avait du mal à détacher ses yeux des seins de Laure et de son sexe aussi !! — Je…je vous en supplie Mademoiselle Orane je… oooohh s’il vous plait arrêtez !! Ne le laissez pas faire ça !!!! Pour toute réponse, et sans se départir de son sourire, Orane troussa lentement sa robe et sous les yeux ébahis de Richard et ceux humides de sa soumise, elle retira délicatement sa culotte, en fit un boule qu’elle fourra dans la bouche da soumise ! — Elle adore que je la bâillonne comme ça dit-elle à Richard -Et elle en a l’habitude. Maintenant tu peux la promener où tu veux, elle ne dira plus rien ! Hésitant au début, Richard finît par s’enhardir et s’amusa beaucoup à humilier Laure comme ça, à l a faire trotter pour faire tinter les clochettes de ses seins. — Allez reviens Richard dit Orane en riant, on va passer à la suite des réjouissances, rends moi la cordelette et retourne t’assoir. Alors tu es prêt ? Richard hésitait à répondre. — La… la suite ? Je… mais je ou… oui pourquoi pas. Orane faisait pivoter Laure sur elle-même. — Elle adore se déguiser en pute, mais reconnait qu’elle est belle non ? Et tu sais quoi ? Comme toutes les belles marchandises, elle est livrée avec le mode d’emploi ! dit Orane en lui montrant une clef USB. Richard se demandait de quoi il s’agissait, mais Laure, elle, avait tout de suite compris que c’était le film qu’Orane lui avait fait tourner avec le gode. Elle était effondrée, anéantie. La jeune asiatique se dirigea vers l’écran, positionna la clef et revins s’assoir à côté de Richard. — Toi tu viens te mettre à genoux face à nous ! Tiens-toi bien droite ! La . . . voilà, tu n’as pas besoin de voir le film toi ! Tu le connais déjà !! Orane avait tiré sur la cordelette en disant cela, Laure en grimaçant avait failli tomber, mais elle était maintenant à genoux entre Richard et sa maitresse. — Humm Richard quelque chose me dit que tu vas trouver que la suite va devenir passionnante ! Dit Orane en actionnant la télécommande pour lancer le film. Laure reconnut, bien sûr, tout de suite qui s’élevait lentement dans la pièce. Elle se tenait droite mais ses yeux regardaient le sol. Elle savait trop bien ce qui allait suivre. Quand sa voix se fit entendre à l’écran, elle sut qu’elle ne pourrait plus retenir ses larmes encore très longtemps. — Regarde bien et écoute aussi Richard ! Orane jubilait. Cette matinée allait être une étape supplémentaire décisive dans l’emprise qu’elle avait désormais sur son ex rivale. — Bonjour je suis Laure Clermont, élève de terminale S au lycée Victor Hugo… Le reste du texte suivait, au fur et à mesure les yeux des Richard s’écarquillaient de plus en plus, il en avait presque le souffle coupé !! Mais le spectacle que Laure donnait à l’écran était loin de le laisser indifférent, et la proéminence de plus en plus visible de son pantalon n’échappait à aucune des deux jeunes filles. Le film se terminait au bout de 10 minutes. Pour la scène finale Orane s’amusa à pousser le volume au maximum. Les cris de l’orgasme de Laure envahissaient toute la pièce ! A l’écran s’affichait en grand son cul magnifique cul d’où dépassait le gode. Des larmes coulaient, silencieuses, sur ses joues, ruinant son maquillage. Orane triomphait, resplendissante. — Laure le cours théorique était très bien… maintenant il te faut passer aux travaux pratiques ! — Richard voilà le cadeau que je t’avais promis : sa bouche et son cul ! Le bâillon eut du mal à étouffer le cri d’effroi de laure ! Ce n’était pas possible !! Sa maitresse ne pouvait pas faire ça !!! — Tu lui dois bien ça !! Et puis de toutes façons tu n’as pas le choix, tu le sais… pour le moment il n’y a que nous 3 qui connaissons tes talents d’actrice… Les râles de désespoir et de protestation continuaient de sortir, étouffés par le bâillon, de la bouche de Laure. Ce dont bien sûr, la jeune asiatique, n’avait cure, mais dont elle se délectait. Tout en regardant sa soumise dans les yeux elle passait sa main sur la bosse du pantalon de Richard. Celui-ci croyait rêver, il ne comprenant pas grand-chose à la situation sauf que s’il ne voulait qu’elle lui échappe, il fallait laisser Orane mener la danse ! Celle-ci continuait de lui masser l’entrejambe avec une lenteur calculée. — Oooh ooh j’ai la très nette impression que tu vas vite te rendre compte à quel point j’avais raison quand je te disais que tu aurais dû acheter un gode plus gros, Pétasse ! — Richard, passe ta main entre ses cuisses et dis-nous… Oui, oui vas-y n’hésites pas ! Sans être le garçon le plus éveillé de la terre, Richard avait maintenant compris qu’il n’avait plus à se poser de questions. C’était son jour de chance, il n’allait pas chercher à comprendre le pourquoi du comment, il allait juste en profiter ! Aussi d’un geste précis, il avança sa main entre les cuisses Laure, remonta et fit la glisser sur toute la fente de son ancienne déléguée de classe qui laissa échapper un râle de honte et de stupeur mélangés. Incrédule, il la releva au milieu d’eux trois. — Mais c’est dingue ! Elle est toute mouillée !! Orane éclata d’un rire moqueur. — Ne sois pas surpris, Richard, notre petite Laure est une véritable salope ! Une chaudasse ! Alors tu vois, si tu avais encore un doute, il ne faut pas te priver ! Pour Laure l’humiliation était à son comble, du moins le croyait elle… - Bon, ma petite pute, ce n’est pas tout ça, mais notre invité attend. Alors commence par arrêter de pleurer et puisque nous savons tous maintenant à quel point la situation t’excite, je vais détacher tes mains, retirer ton bâillon et tu vas faire ce que tu sais faire le mieux et que tu adores faire… Te conduire comme une trainée pour le plus grand plaisir de Richard et du mien !! D’accord ma chérie ? Sans même attendre une quelconque réponse de sa soumise, Orane lui détacha les poignets et retira sa culotte de sa bouche. — A toi de jouer ma chérie !! Et comme dans le film tu parles bien fort et tu expliques clairement ce que tu fais !!!! Laure resta immobile, quelques instants, regarda sa maitresse espérant trouver une échappatoire, mais Orane semblait bien trop heureuse pour envisager de se priver d’une telle suite. Et puis… et puis il y avait cette boule de chaleur qui lui tordait le ventre… Elle allait encore une fois céder, elle le savait. Elle se pencha en avant et entreprit de déchausser Richard. Le trajet pour venir jusque chez elle, mais surtout l’excitation que lui procurait cette situation faisaient qu’il transpirait déjà ! L’odeur forte qui vient heurter les narines de Laure accentua encore sa honte. Elle s’attaqua ensuite à la boucle de la ceinture — Dans… dans cette deuxième partie, je… je vais vous faire la…la démonstration sur…. Sur une vraie b… une vraie bite. Comme toutes les salopes en chaleur, je préfère toujours une bonne bite à un gode. Et aujourd’hui je vais… je enfin c’est Richard qui va en profiter. Je commence par le déshabiller pour qu’il soit bien à l’aise, et puis c’est… c’est le rôle de la salope en chaleur de prendre soin de celui qui va profiter d’elle…. Elle n’en revenait pas de prononcer de telles paroles de sa propre initiative. Jusqu’à présent c’était toujours mademoiselle Orane qui lui dictait les propos avilissant qu’elle tenait, mais aujourd’hui cela venait d’elle-même, elle en avait conscience, son humiliation et son plaisir en étaient décuplés. Le pantalon était maintenant bien ouvert, Richard tout sourire avait déjà retiré son tee-shirt et soulevait son bassin impatient. Laure le lui retira, il ne lui restait plus que son caleçon. Toujours dans la même position, le basin relevé, et arborant un sourire béat, Richard attendait. Lorsque Laure fit glisser le sous-vêtement, libérant ainsi le sexe de Richard, les deux filles ne purent retenir un cri ! Orane éclata de rire — Je te l’avais bien dit !! Tu aurais dû t’entrainer avec un gode plus gros ! Beaucoup plus gros même!!! Richard Thomas n’était pas très grand, il était gros, boutonneux, portait d’horribles lunettes épaisses, ses cheveux étaient gras. Il n’était pas non plus très malin et pour couronner le tout, il ne prenait pas grand soin de sa personne, et de ce fait, il exhalait de lui un fumet des plus désagréables. Il était loin, très loin même de l’image de l’apollon ou du prince charmant dont rêvent toutes les jeunes filles ! Mais, comme pour vouloir rééquilibrer la balance, la nature l’avait plus que généreusement doté ! Devant les deux filles se présentait une bite splendide : longue, épaisse, impressionnante et dont la rigidité encore incertaine semblait indiquer qu’elle n’avait pas encore atteint sa taille maximale !!! Cela dépassait toutes les espérances d’Orane. — Tu vois, j’avais raison !!! Ca va vraiment être inoubliable ma chérie !!! Allez continues vite ! On est impatients !!!